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TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 294

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schon nicht gereißt/ hat er doch durch anderer Reden/ und Lesen der Bücher eine große Erfahrenheit überkommen.

[Marginalspalte: CXXVIII. Adam Elzheimer/ Mahler von Frankfurt Dans la Vie d’Elsheimer, Sandrart adopte une position très engagée pour son art. Il possédait l’une de ses œuvres, connaissait ses graveurs. Surtout, sa propre production picturale fut elle-même très influencée par les œuvres de ce maître, notamment par les nuits qu’il place au rang de tableaux d’école, de modèles (sur l’importance de la lumière diurne chez Sandrart, voir Heck 2006, p. 263–269). Aussi, Sandrart s’applique à montrer comment Elsheimer sut éviter les pièges du maniérisme par un dessin excellent et un coloris naturel et véritable. Pour détailler cela, et ce n’est pas chose courante dans les Vies de la Teutsche Academie, notre auteur s’adonne à de longues descriptions ekphrastiques des œuvres qui le placent en position d’expert de l’art d’Elsheimer. De plus, Sandrart loue grandement les paysages du maître et surtout son travail. La méthode d’observation de la nature, fondée sur le développement de la mémoire, était considérée par Sandrart comme la plus difficile et la plus louable, par rapport au dessin d’après nature fait sur le vif (pour les idées de Sandrart sur le paysage, voir Heck 2006, p. 297–317). Sandrart clôt cette Vie avec quatre vers élogieux qui insistent sur le fait qu’Elsheimer faisait partie des plus grands maîtres de la peinture. On peut aller plus loin en disant qu’à travers cet éloge, Sandrart montre au lecteur, qu’il soit amateur ou artiste, que les villes allemandes doivent être fières de leurs maîtres et faire leur promotion pour que le pays retrouve le goût des arts.Anaïs Carvalho, 30.11.2011.]EIner der aller berühmtesten und höchstgepriesenen Meistere in der edlen Mahlkunst war Adam Elzheimer/ insgemein Adam von Frankfurt genant/ eines Schneiders Sohn/ neben der rothen Badstuben zu Frankfurt im Jahr 1574. gebohren Adam Elsheimer doit avoir déjà 4 ans lorsque son père fait l’acquisition en 1582 de la maison sur la Fahrgasse (Klessmann 2006, p. 8).Anaïs Carvalho, 30.11.2011/ der bey ihm verspührten großen Begierde zur Mahlkunst zu Folge/ begab er sich auf das Zeichnen/ und folgends zu Philipp Uffenbach in die Lehr/ und weil sein edler Verstand nur nach der grösten Vollkommenheit gezielet/ durchreisete er bald Teutschland/ um fürters nach Rom zu gelangen C’est en 1600 qu’il arrive à Rome (Klessmann 2006, p. 8).Anaïs Carvalho, 30.11.2011/ wie er solches auch werkstellig gemacht/ und [Marginalspalte: Komt nach Rom.] daselbst sich allezeit zu den Berühmtesten und Tugendsamesten gestellet/ dern damalen unterschiedliche/ als Peter Lastmann/ Jann Pimias von Amsterdam/ Jacob Ernst Thoman von Lindau und andere mehr sich allda befunden/ die insgesamt den höchsten Gipfel der Vollkommenheit En plus de fréquenter des artistes, comme lui, septentrionaux, Elsheimer fut également membre de l’académie de Saint-Luc à partir de 1607 (Klessmann 2006, p. 8).Anaïs Carvalho, 30.11.2011 zu erreichen sich beflißen/ und gleich wie unser Vatter Adam der erste gewesen unter allen Menschen/ also ware dieser der erste Adam der in der Mahlkunst kleinern Bildern/ Landschaften und andern Curiositäten sich also hoch/ und natürlich erhoben/ daß er ein Vorgeher und Vatter worden/ deßen Manier/ als die allervollkommensten/ auserleßnesten und natürlichsten in allen Theilen alle andere Mahler nach gefolget.

[Marginalspalte: Begibt sich auf die kleine Werke/ und mahlt die Reiße des jungen Tobias.] Unter andern seinen bästen Werken mehrte er seinen Ruf mit einem kleinen Tobias auf ein Kupfferblättlein einer Spannen lang/ worinn der Engel den jungen Tobias durch ein seicht-rinnendes Wasserbächlein zu kommen behülflich ist/ und das Hündlein von einem Stein zu dem andern springet/ als begierig hinnach zu kommen/ beyden scheinet die aufgehende helle Sonne ins Angesicht. Die Landschaft ist so schön/ der im Waßer erscheinende Wiederglanz des Himmels so natürlich/ die Reisende und Thiere dermaßen wol gebildt/ daß dergleichen wahre Manier vorhin niemals gesehen/ und dahero in ganz Rom von nichts dann von Elzheimers neu-erfundener Kunst im Mahlen geredt worden.[Marginalspalte: Eiue Eine Latona.] Gleicher Weiße mahlte er in eine etwas größere Landschaft eine Latona mit beeden Kindern/ dero die im Gemöß arbeitende Bauren das helle Waßer zum Trinken mißgönneten/ deßwegen sie zu Fröschen verwandlet worden. Ferner in selbiger Größe [Marginalspalte: und andere seine Werke.] die verwundte und nackende Procris, der durch gesunde Kräuter ihr Cephalus zu helffen sich bemühet/ von weiten sind die Feld-Göttinnen/ Satyren/ Fauni, Alt und Junge/ die ein Feuer vor dem Wald aufmachen/ gebildet. Nicht weniger künstlich ist sein Gemähl/ wie S. Lorenz vor dem Richter entkleidet wird/ ihne folgends auf dem Rost zu braten/ bey dem allda gestellten Abgott/ der sich aber andächtig zum Himmel wendet/ mit unbeschreiblichen affecten welches original jezo bey dem hochgebornen Reichs-Grafen und Herrn/ Herrn Johann von Nassau/ zu Saarbrucken in seiner Residenz, neben vielen andern Raritäten/ zu sehen. So mahlte er auch noch

et bien qu’il n’ait pas voyagé, il a pourtant acquis une grande expérience par d’autres discours et lectures de livres.

[Marginalspalte: CXXVIII. Adam Elsheimer, peintre de Francfort. Dans la Vie d’Elsheimer, Sandrart adopte une position très engagée pour son art. Il possédait l’une de ses œuvres, connaissait ses graveurs. Surtout, sa propre production picturale fut elle-même très influencée par les œuvres de ce maître, notamment par les nuits qu’il place au rang de tableaux d’école, de modèles (sur l’importance de la lumière diurne chez Sandrart, voir Heck 2006, p. 263–269). Aussi, Sandrart s’applique à montrer comment Elsheimer sut éviter les pièges du maniérisme par un dessin excellent et un coloris naturel et véritable. Pour détailler cela, et ce n’est pas chose courante dans les Vies de la Teutsche Academie, notre auteur s’adonne à de longues descriptions ekphrastiques des œuvres qui le placent en position d’expert de l’art d’Elsheimer. De plus, Sandrart loue grandement les paysages du maître et surtout son travail. La méthode d’observation de la nature, fondée sur le développement de la mémoire, était considérée par Sandrart comme la plus difficile et la plus louable, par rapport au dessin d’après nature fait sur le vif (pour les idées de Sandrart sur le paysage, voir Heck 2006, p. 297–317). Sandrart clôt cette Vie avec quatre vers élogieux qui insistent sur le fait qu’Elsheimer faisait partie des plus grands maîtres de la peinture. On peut aller plus loin en disant qu’à travers cet éloge, Sandrart montre au lecteur, qu’il soit amateur ou artiste, que les villes allemandes doivent être fières de leurs maîtres et faire leur promotion pour que le pays retrouve le goût des arts.Anaïs Carvalho, 30.11.2011]L’un des maîtres les plus célèbres et dignes d’éloge du noble art de peindre fut Adam Elsheimer, souvent appelé Adam de Francfort, un fils de tailleur, né près du Rote Badstube à Francfort en l’an 1574 Adam Elsheimer doit avoir déjà 4 ans lorsque son père fait l’acquisition en 1582 de la maison sur la Fahrgasse (Klessmann 2006, p. 8).Anaïs Carvalho, 30.11.2011. Il éprouva un grand désir pour l’art de peindre, par conséquence il se mit à apprendre le dessin et le reste chez Philippe Uffenbach ; et parce que sa noble intelligence ne visait qu’à atteindre la plus grande perfection, il traversa bientôt l’Allemagne [Marginalspalte: Va à Rome.] pour arriver ensuite à Rome C’est en 1600 qu’il arrive à Rome (Klessmann 2006, p. 8).Anaïs Carvalho, 30.11.2011 ; comme il considérait cela comme une bonne position pour travailler, il se plaçait toujours à côté des plus célèbres et des plus vertueux, qui peignaient alors de manière différente, tels Pieter Lastmann, Jan Pynas d’Amsterdam, Jacob Ernst Thoman de Lindau et d’autres encore se trouvant là, qui en tout s’empressaient d’atteindre le plus haut sommet de la perfection En plus de fréquenter des artistes, comme lui, septentrionaux, Elsheimer fut également membre de l’académie de Saint-Luc à partir de 1607 (Klessmann 2006, p. 8).Anaïs Carvalho, 30.11.2011 ; et tout comme notre Père Adam fut le premier parmi tous les hommes, ainsi celui-ci serait le premier Adam qui, dans la peinture de petites figures, des paysages et d’autres curiosités Sandrart utilise la base latine, Curiositäten.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, s’est élevé si haut et si naturellement, qu’il devint un précurseur et un père, dont la manière fut suivie par tous les autres peintres comme la plus parfaite, la plus exquise et la plus naturelle en tous points.

[Marginalspalte: S’adonne aux miniatures / et peint Le voyage du jeune Tobie.]Parmi ses meilleures œuvres il fit grandir sa réputation avec un petit Tobie sur une plaque de cuivre grande d’un empan Un empan (eine Spanne) représente la distance entre le pouce et le petit doigt de la main très écartés, c’est-à-dire environ 20–25 cm.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, sur laquelle l’ange aide le jeune Tobie à traverser un ruisselet s’écoulant peu profondément et le petit chien saute d’une pierre à l’autre, comme avide d’arriver, tous deux le visage éclairé par le clair soleil levant. Le paysage est si beau, l’éclat du ciel se reflétant dans l’eau si naturellement, les voyageurs et les animaux tellement bien peints, qu’une vraie manière de cette sorte n’a jamais été vue auparavant, et ce qui explique que dans tout Rome on ne parlait de rien d’autre que du nouvel art de peindre inventé par Elsheimer. [Marginalspalte: Une Latone]De la même manière il peignit dans un paysage un peu plus grand une Latone avec ses deux enfants, qui enviaient des paysans travaillant dans les marais de boire l’eau claire ; c’est la raison pour laquelle ils furent transformés en grenouilles. [Marginalspalte: et d’autres de son œuvre.] Encore et toujours dans la même taille, la Procris blessée et nue, qui s’efforce d’aider son Céphale grâce à des herbes grasses, au loin sont peints les déesses champêtres, satyres, faunes En latin dans le texte, fauni.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, vieux et jeunes, faisant un feu devant la forêt. Non moins artistique est son tableau représentant saint Laurent déshabillé devant son juge, pour être ensuite placé sur le grill au-dessus des braises près de l’idole placée là, mais qui se tourne pourtant vers le ciel avec recueillement dans des affects indescriptibles ; ce tableau original peut être vu maintenant chez le comte palatin et seigneur, sieur Johann de Nassau, dans sa résidence de Saarbrücken aux côtés de nombreuses autres curiosités. Comme cela il peignit également encore


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einen kleinen heil. Laurentium für meinen Vettern Abraham Mertens von Frankfurt/ der in einem gebildten Leviten-Rock/ in einer Hand den Rost/ in der andern den Palmzweig hält/ zuruck aber ein weit hinaus sehendes Gebürg/ Thäler und Waßerfallen/ mit zierlichem Bauwerk/ wordurch die Abend-Sonne strahlet/ dermaßen ungemein/ natürlich und tiefsinnig/ daß zum genugsamen Lob mir mehr die Reden als materi zu seinem Lob ermanglet. Nach so hoch-geprießner neu-angenommener Manier in Oelfarbe der kleinen Stucken/ hat er das groß mahlen/ (welches doch sein erstes studium war) verlaßen/ und ist bey dem kleinen verblieben.

Er etzte auch etliche kleine Landschaften/ wie die Feldgötter und Nymphen mit Cymbalen tanzen/ auch die Satyren aufspielen Von den hier beschriebenen Graphiken mag die Radierung Tanzende Nymphe mit Tamburin und Satyrn einen Eindruck geben.Christina Posselt, 20.10.2008/ und andere dergleichen vernünftige Selzamkeiten. Mehr bildete er eine Tagröhte von einem finstern Wald/ da man über weit entlegene Gebürg und Thäler biß zu dem Horizont hinsihet/ alles sehr verwunderlich colorirt: [Marginalspalte: Seine Nachtstücke] wiederum in kleiner oval-Form die Enthauptung des heiligen Johannis des Täuffers/ worinnen er seine große Vernunft in Erkantnus der einigen wahren Manier/ die Nacht-Stucke zu mahlen genugsam an Tag gegeben/ welches dann so hoch gepriesen worden/ daß er hierdurch angefrischet ferners gebildet hat/ wie Jupiter und Mercurius von weiter Reise ermüdet in dem schlechten Bauren-Häußlein der Pausae und Philemonis eingekehret/ und bey einem Lampen-Licht nidergesessen/ wovon sie selbst/ neben diesen armen Leuten und ihrem Hausrähtlein also vernünftig beleuchtet werden/ daß dieses und folgendes Werk eine ganze Instruction und Lehrschule/ wornach man die gerechte Nachten ergreiffen und lernen mag/ und bekenne ich/ daß ich in meiner Jugend selbst/ wie ich Nachten zu mahlen angefangen/ dieses für eine Ideam, Richtschnur und formular gehalten. Eben so künstlich ist das große Werk der trinkenden Ceres, bey Nacht/ die bey einem alten Weib mit der Kerzen stehet/ und von denen schalkhaften Buben verspottet wird/ so alles theils wegen der herrlichen Ordinanz und Invention, theils wegen der Zeichnung/Colorit, unterschiedlicher schönen Lichtern/ Landschaften/ Bäumen/ empor stehendem und herabhangendem Laubwerk/ Blätteren und Krauteren billig das höchste Lob/ Ruhm und Preiß erhält.

Wie hoch dieser schöne Geist in der Poësie, Allusionen/ Inventionen und guten Gedanken gestiegen/ beweist sein allergröstes Werk in seiner Geburt-Stadt/ welches mir der hoch-benahmte [Marginalspalte: Sein Werk zu Frankfurt die Vergnügung.] Handels-Herr Du Fay Anno 1666. gezeiget/ worinnen er das Contento oder die Vergnügung auf ein großes Kupferblatt folgender Gestalt ausgebildet; In der Luft schwebet das Verlangen oder Contento in zweyen anmuhtigen Bildern vorgestellet/ unten her auf der Erden sind allerley hoch und niedere Stands-Personen in ihrem Vornemen beschäftiget/ etliche zeigen ihre Hoffnung zu den Göttern/ mit Andacht bey dem Opfer-Feuer/ da in einem finsteren Tempel der weiß-bekleidte alte Priester mit dem Rauchwerk/ in Gegenwart der mit Lorbeerzweigen

un petit saint Laurent pour mon cousin Abraham Mertens de Francfort, qui, en vêtement de lévite, tient dans une main le grill, dans l’autre la palme, juste derrière lui une montagne que l’on voit au loin, des vallées et des cascades, avec un élégant édifice à travers duquel brille le soleil du soir, de manière tellement peu commune, naturelle et profonde que pour louange suffisante les mots me font plus défaut comme matière Sandrart utilise la base latine, materi.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 à son éloge. Après la manière tant vantée et nouvellement adoptée de peinture à l’huile de petits tableaux, il a abandonné la grande peinture (laquelle fut pourtant son premier enseignement En latin dans le texte, studium.Anaïs Carvalho, 30.11.2011) et s’en est tenu aux petites dimensions.

Il grava aussi bon nombre de petits paysages, où dansent des dieux champêtres et des nymphes avec des cymbales, et aussi où des satyres Sandrart utilise la base latine, Satyren.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 jouent et d’autres curiosités pleines d’esprit de ce genre. De plus il représenta le rougeoiement du jour sur une sombre forêt, quand l’on regarde au-delà des montagnes et des vallées lointaines jusqu’à l’horizon En latin dans le texte, Horizont.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 ; tout est très étonnamment coloré Sandrart utilise la base latine, colorirt.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 : [Marginalspalte: Ses nuits.] à nouveau dans un petit tableau de forme ovale En français dans le texte, oval.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 la décapitation de saint Jean-Baptiste, dans laquelle il a suffisamment révélé son grand entendement dans la connaissance des quelques vraies manières de peindre les nuits, ceci a alors été tellement apprécié, qu’animé par cela, il a plus tard représenté Jupiter et Mercure, fatigués d’un long voyage, entrés dans la simple chaumière de Philemon et Baucis, et, assis à la table, à la lumière d’une lampe, par laquelle, aux côtés de ces pauvres gens et de leurs outils, ils sont éclairés avec tant de discernement que cette œuvre et les suivantes sont une véritable instruction En français dans le texte, Instruction.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 et école, dans laquelle on peut apprendre et saisir la véritable nuit ; et je reconnais que moi-même dans ma jeunesse, quand j’ai commencé à peindre des nuits, j’ai considéré celle-ci comme une idée En latin dans le texte, Ideam.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, une règle et un modèle Sandrart utilise la base latine, formular.Anaïs Carvalho, 30.11.2011. Tout aussi artistique est la grande œuvre représentant Cérès buvant, la nuit, debout à côté d’une vieille femme avec une chandelle, et qui est raillée par un jeune garçon espiègle ; ainsi tout a acquis la plus haute louange, renommée et récompense en partie pour la merveilleuse ordonnance En italien dans le texte, Ordinanz.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 et invention En français dans le texte, Invention.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, en partie pour le dessin, le coloris Sandrart utilise la base italienne, Colorit.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, les diverses belles lumières, les paysages, les arbres, les feuillages qui se dressent et qui pendent, les petites feuilles et les herbes.

Combien ce bel esprit s’était élevé dans la poésie En français dans le texte, Poësie.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, les allégories Sandrart utilise la base française, Allusionen.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, les inventions Sandrart utilise la base française, Inventionen.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 et les bonnes idées, cela est prouvé dans sa ville natale par la plus grande de toutes ses œuvres, qui me fut montrée par le marchand très distingué et cultivé sieur Du Fay en l’an 1666 En latin dans le texte, anno.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, où, sur une grande plaque de cuivre, le Contento Sandrart utilise le terme latin, Contento.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 ou le désir prit la forme suivante ; [Marginalspalte: Son œuvre à Francfort, le Désir.] Dans les airs, le désir ou Contento plane, représenté par deux charmantes figures, en-dessous sur la terre travaillent toutes sortes de personnes, de hautes et basses naissances, selon leur distinction, bon nombre d’entre elles montrent leur foi aux dieux en priant à côté du feu sacrificiel, là, dans un temple sombre, le vieux prêtre vêtu de blanc, près du brasier, en présence de


Originaltext

Übersetzung von Anaïs Carvalho