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TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 293

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donc les échanges présumés par les Pays-Bas n’ont pu être faits, ce qui explique qu’une détresse extrêmement grande fut occasionnée chez les créanciers En latin dans le texte, Creditoribus.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 à cause de l’avance d’argent, qui entraîna beaucoup de banqueroutes Sandrart utilise la base française, Banqueroten.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 à Anvers ainsi presque personne n’est resté sans relever de grands dommages, en dehors de Rubens favorisé par chance, sans se soucier il prit des dispositions Sandrart utilise la base française, disponirt.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 pour changer beaucoup d’argent liquide, si bien qu’aucun dommage ni malchance ne lui sont arrivés. Avec de tels orages partout en suspens, Rubens s’en tenu à ses études Sandrart utilise la base latine, studien.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 à la maison dans une grande solitude, [Marginalia: Accumule un grand trésor d’œuvres d’art.] travailla constamment et rassembla comme ça, autant de sa propre main que d’autres, un grand nombre de bons tableaux, esquisses, statues Sandrart utilise la base latine, statuen.Anaïs Carvalho, 11/30/2011, figurines en ivoire, pour la plupart acquis par la recherche assidue de notre élogieux Petel d’Augsbourg, si bien que l’on s’étonna de si grandes dépenses car il n’était pas généreux, avant cela on lui reprochait de garder vraiment trop fermement en main son argent liquide. Mais cela éclata bientôt au grand jour après sa mort, avec cela il visait à prendre la disposition En français dans le texte, Disposition.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 que tout ce qui voulait être agréable et utile aux études Sandrart utilise la base latine, studien.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 de cet art des esquisses, gravures et cetera, devait être laissé à l’un ou l’autre de ses fils qui s’intéresserait à cet art ou à défaut aux hommes de ses filles, le reste fut vendu mais par proclamation au public, et comme la vente s’est faite au plus offrant, juste après sa mort en quelques jours dans son logis, contre de l’argent liquide selon la tradition du pays, là les œuvres prirent tellement de valeur, car tout le monde voulait avoir quelque chose du cabinet En français dans le texte, Cabinet.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 de Rubens, qu’elles rapportèrent une incroyable somme d’argent.

[Marginalia: Ses première œuvres.]Après sa première manière rapportée d’Italie il a aspiré avec ardeur à imiter la force du coloris Sandrart utilise la base italienne, Colorits.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 du Caravage, dont il avait beaucoup observé la main Sandrart est l’un des rares biographes de l’époque à déceler et évoquer l’influence du Caravage dans les premières œuvres de Rubens. Ni André Félibien ou Roger de Piles, pour le XVIIe siècle, ni Dézallier d’Argenville, pour le XVIIIe siècle, ne font une telle remarque. Cela contribue encore à rapprocher l’artiste de l’auteur dont les œuvres montraient aussi un apprentissage dans la tendance caravagesque. Et cette remarque montre aussi l’analyse du coloris par Sandrart, qui, sans avoir su en déduire une véritable théorie, différenciait très bien dans la pratique les manières de Titien, de Raphaël ou de Caravage (voir Heck 2006, p. 157–192).Anaïs Carvalho, 11/30/2011 ; parce que celle-ci est trop lourde et lente à suivre, il s’est ensuite servi pour peindre d’une manière plus rapide et légère, comme dans notre Allemagne sa grande bacchanale Sandrart utilise la base latine, Bacchanalien.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 à la cour impériale de Vienne, [Marginalia: Deuxième manière.] de la même façon à Schleissheim dans les chambres de la Coire bavaroise sa signifiante chasse des barbares à cheval contre les sauvages lions qui fut aussi diffusée sur cuivre, également une cruelle Sandrart utilise la base latine, crudele.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 chasse contre des crocodiles Sandrart utilise la base latine, Crocodilen.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 monstrueux Sandrart utilise le terme latin, monstrose.Anaïs Carvalho, 11/30/2011, comme pas moins que le maître-autel avec ses deux retables à Neubourg sur le Danube, dans le premier la prière d’intercession de nos femmes bien-aimées pour le Christ ou plutôt le Jugement Dernier, dans les autres sont représentés la naissance du Christ et la Pentecôte ; à Hemau dans le Pfalz-Neubourg Votre Sainteté est présenté Sandrart utilise la base latine, praesentirt.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 de sa main sur le haut retable, comme saint Michel renversant le dragon Sandrart utilise le terme latin, Lucifer, avec la signification qui lui est donnée dans la Vulgate de saint Jérôme.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 qui fut très excellemment et hautement estimé Sandrart utilise la base latine, aestimirt.Anaïs Carvalho, 11/30/2011, ainsi aussi à Freysingen où le maître-autel dédié à la révélation de Jean le douzième apôtre représente comment le dragon, voulant dévorer le nouveau né, fut donc vaincu par l’archange Michel ; le tout coloré Sandrart utilise la base latine, colorirt.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 avec raffinement, par une invention En français dans le texte, Invention.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 très intelligente et pour l’agrément des yeux.

genommen worden/ daß also die nach Niderland vermeinte Wechsel ausgebliben/ wordurch bey den Creditoribus wegen des Vorschußes überaus große Noht entstunde/ die viele Banqueroten zu Antorf nach sich zoge/ daß fast kein einiger ohne vermerklichen großen Schaden geblieben/ außer der von Glück begünstigte Rubens/ unangesehn er sehr große Baarschaft in Wechsel disponirt/ so doch ganz ohne Schaden und Unglück davon kommen. Bey solchen überal in der Luft schwebenden Ungewittern hielte sich Rubens in seinen studien [Marginalia: Samlet einen großen Schatz von Kunststucken.] zu Haus in großer Einsamkeit/ arbeitete beständig/ und samlete darbey so wol von seiner eignen Hand/ als auch von andern guten Gemählden/ Handrissen/statuen/ Bildern von Helffenbein/ meistentheils durch die fleißige Nachforschung unsers lobwürdigen Augstburgischen Petel/ eine große Anzahl zusammen/ so daß man sich selbst über so große Ausgaben verwundert/ weil er sonst nicht von Gebenhausen war/ dannenhero ihn viel beschuldigten/ daß er das baare Geld gar zu hart in Handen halte; Es ist aber nach seinem Ableiben bald an Tag kommen/ wohin er damit gezielet/ indeme seine Disposition dahin ausgegangen/ daß alles/ was zu den studien dieser Kunst von Handrißen/ Kupferstichen und dergleichen angenehm und dienlich seyn mögte/ solte einem oder dem andern seiner Söhne/ die zu dieser Kunst Lust hätten/ oder in Mangel derselben/ an dergleichen Töchter-Männer überlassen/ das übrige aber offentlich durch einen Ausruf verkauft werden/ wie auch kurz nach seinem Tod/ auf angestelten Tag in seiner Behausung an den meist Bietenden/ nach Lands Gebrauch/ gegen baaren Geld geschehen/ da dieselbe dermaßen hoch an Wehrt gebracht worden/ weil jederman etwas aus Rubens Cabinet haben wolte/ daß sie eine unglaubliche Summa Gelds getragen. Aus der Auktion, die von März bis Juni 1641 stattfand und 52.804 Gulden erbrachte, hat Sandrart laut eigenem Bericht eine Geburt Christi von Jan Stephan Calcar erworben und 1562 wieder an Kaiser Ferdinand III. verkauft (vgl. TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 243); vgl. Klemm, Kommentar Viten 1995, S. 865, Anm. 527,13.Christina Posselt, 06/28/2011

Nach seiner ersten aus Italien gebrachten Manier hat er emsig dahin getrachtet/ die Stärke des [Marginalia: Seine erste Werke.]Colorits von Caravaggio Sandrart est l’un des rares biographes de l’époque à déceler et évoquer l’influence du Caravage dans les premières œuvres de Rubens. Ni André Félibien ou Roger de Piles, pour le XVIIe siècle, ni Dézallier d’Argenville, pour le XVIIIe siècle, ne font une telle remarque. Cela contribue encore à rapprocher l’artiste de l’auteur dont les œuvres montraient aussi un apprentissage dans la tendance caravagesque. Et cette remarque montre aussi l’analyse du coloris par Sandrart, qui, sans avoir su en déduire une véritable théorie, différenciait très bien dans la pratique les manières de Titien, de Raphaël ou de Caravage (voir Heck 2006, p. 157–192).Anaïs Carvalho, 11/30/2011, als deßen Hand er sehr beobachtet/ nachzuahmen/ weil selbige aber zu schwer und langsam hergegangen/ hat er sich nachmalen einer geschwind- und leichteren Manier bedient/ wie in unserem Teutschland seine große Bacchanalien am Käyserlichen Hof zu Wien/ ingleichen zu Schleißheim in den Chur-Bäyerischen Zimmern eine seltsame Sinn-reiche [Marginalia: Zweyte Manier.] Jagt von Barbaren zu Pferd/ wider den wilden Löwen/ die auch in Kupfer ausgegangen/ auch eine crudele Jagt wider monstrose Crocodilen/ wie nicht weniger der hohe Altar samt zween Seiten-Altar zu Neuburg an der Donau/ in dern erstem die Vorbitt unser lieben Frauen bey Christo/ oder vielmehr das jüngste Gericht/ in denen andern aber die Geburt Christi/ und das Pfingst-Fest ausgebildet; zu Hemmau in Pfalz-Neuburgischen haben Ihr Hochfürstl.Durchl, an dem hohen Altar-Blat von seiner Hand praesentirt/ wie S. Michaël den Lucifer stürzet/ so sehr fürtreflich und hoch aestimirt wird/ also auch zu Freysingen/ wo der hohe Altar aus der Offenbarung Johannis am 12. Cap. vorstellet/ wie der Drach das neu-geborne Kindlein verschlingen will/ so aber von dem Erz-Engel Michael überwunden wird/ alles von sehr Geist-reicher Invention und nach Annemlichkeit der Augen sehr freudig colorirt.


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À Augsbourg dans l’église Sainte Croix, on voit l’Assomption de Marie. J’ai aussi de lui un Hérode avec sa fille, qui apporte à son père la tête de saint Jean-Baptiste dans une coupe ; cette œuvre, parce que félicitée par l’ensemble des amateurs, je l’ai achetée dans le cabinet de Milich Un rapprochement avec Nicolas Millich est peut-être à envisager (TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 347).Anaïs Carvalho, 11/30/2011 et placée parmi mes autres tableaux précieux.

Il n’y aurait pas de fin si devaient être décrites toutes les œuvres qu’a réalisées cet artiste à la riche raison et intelligence, tandis qu’à côté de son bienheureux et talentueux entendement, il a agi avec la main d’une manière toute magistrale et rapide et il terminait ses œuvres avant qu’un autre ait même commencé ; à la fin la goutte Sandrart utilise le terme latin Chiragra.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 s’empara de ses mains de façon inquiétante, donc il dût renoncer aux grandes œuvres et se contenter des moyens et petits [tableaux] d’esprit comme les tableaux profanes et les paysages. Malgré ces signes avant-coureurs de la mort, il se servit d’une manière juste pour faire toutes ses choses, et il acheva celles-ci selon son souhait ; [Marginalia: Ses funérailles.] il s’éteignit orné de la belle couronne de laurier d’un éloge immortel et fut donc mis en terre très honorablement. Devant son cercueil, une couronne d’or fut portée sur un coussin de velours noir, et la dépouille fut accompagnée dans son lit de mort par les amoureux d’art les plus hautement peinés. Et, aussi longtemps que le monde vivra, son nom sera toujours vivant et la femme affairée fera souffler les trompettes de la gloire aux quatre coins du monde pour célébrer sa vertu. Il mourut le 30 mai, dans sa 63ème année et en 1640 après Jésus-Christ. L’amateur trouvera son portrait sur la planche de gravures JJ.

[Marginalia: CXXVII. Philippe Uffenbach, peintre de Francfort]Philippe Uffenbach a grandi à Francfort issu d’un bon rang et fut éduqué à l’art par ses parents, il a donc suivi au mieux son maître Adam Grimmer pas sans quelque avantage. Parmi ses œuvres les plus distinguées, un tableau était peint, d’après la vieille manière, représentant l’Ascension du Christ en présence de ses apôtres, il est encore à voir sur un autel dans l’église du Prêche à Francfort. Là, de la même manière, il a recouvert avec toutes sortes de gentillesses la grande tour située sur le pont et sinon un peu partout dans des lieux semblables il laissa suffisamment se répandre son art. [Marginalia: Son travail.] Et parce qu’il s’est mis sérieusement à l’alchimie En italien dans le texte, Alchimia.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 et aux emblèmes théologiques Sandrart allie allemand et latin, theologische Emblemata. Sandrart a aussi mis en valeur le terme allemand en lui attribuant la même typologie que les termes en langues étrangères.Anaïs Carvalho, 11/30/2011, il a beaucoup écrit Aujourd’hui, nous connaissons de lui l’ouvrage intitulé De quadratura circuli mechanici […], publié la première fois en 1619 puis réédité à Nuremberg.Anaïs Carvalho, 11/30/2011, sinon au temps de Fettmilch il avait aussi beaucoup donné de lui pour réussir dans les commerces bourgeois, à cause de quoi il n’était pas aimé de beaucoup Uffenbach semble avoir participé à la politique antisémite conduite par Vinzenz Fettmilch (?–1616) entre 1612 et 1616 à Francfort. Le fait que les deux hommes se connaissaient est attesté par un portrait de Fettmilch par Uffenbach, daté de 1616 et conservé à Francfort/Main (Historisches Museum, Inv.-No. B 634). Sur le sujet, voir le catalogue d’exposition Der Fettmilch-Aufstand [...](Frankfurt/Main 1996).Anaïs Carvalho, 11/30/2011, il restait le plus souvent chez lui presque mal et trépassa finalement là aux environs de l’année En latin dans le texte, anno.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 1640. Il fut le maître d’Adam Elsheimer et un grand amateur de toutes œuvres d’art, particulièrement celles des vieux maîtres allemands, qui étaient d’un bon esprit, d’une bonne raison et intelligence, car il a lui-même appris à bien peindre dans les règles de la proportion En français dans le texte, Proportion.Anaïs Carvalho, 11/30/2011, de la géométrie En latin dans le texte, Geometria.Anaïs Carvalho, 11/30/2011, de la perspective Sandrart utilise la base latine, Perspectiv.Anaïs Carvalho, 11/30/2011 et de l’anatomie En latin dans le texte, Anatomia.Anaïs Carvalho, 11/30/2011,

Zu Augstburg in der Heiligen Creutz Kirche sihet man die Himmelfahrt Mariae. Auch hab ich von ihm eine Herodias mit ihrer Tochter/ die das Haupt Johannis des Täuffers in einer Schüßel dem Vatter fürträgt/ welches Werk/ weil es von den gesamten Liebhabern also gerühmet worden/ hab ich es aus dem Milichischen Cabinet erkauft/ und unter meine andere rare Stücke gestellet.

Es wäre kein Ende zu machen/ wann alle Werke solten beschrieben werden/ die dieser Geist- und Sinn-reiche Künstler verfärtiget/ in dem er neben seinem wol-aufgeraumten Kunst-reichen Verstand/ mit der Hand ganz meisterhaft und geschwind verfahren/ und seine Werke eher geendiget/ als ein anderer angefangen/ biß ihm endlich das Chiragra die Hände beunruhiget/ also daß er von den großen Werken ablassen/ und an mittelmäßigen kleinen/ so wol Geist- als weltlichen Stucken und Landschaften sich begnügen muste. Solche Vorbotten des Todes ließ er sich dienen/ in allen seinen Sachen eine Richtigkeit zu machen/ und nachdem er solche nach [Marginalia: Seine Leichbegängniß.] Wunsch vollendet/ verschiede er mit dem schönen Lorbeerkranz eines unsterblichen Lobs gezieret/ und wurde darauf aufs allerstattlichste in die Erde versetzet: Vor ihm her wurde auf einem schwarzsammetin Küßen eine guldine Cron getragen/ und der Leichnam von den höchst-betrübten Kunst-liebenden zu seinem Ruh-Bett begleitet: Sein Name aber wird/ so lang die Welt lebet/ immer grünen/ und die geschäftige Fama seine Tugend gegen alle vier Ecken der Welt mit ihrer Ruhm-Trompeten ausblasen. Er starbe den 30.May/ im 63ten Jahr seines Alters und nach Christi seeligmachender Geburt im 1640. Sein Contrafät hat der großgünstige Liebhaber in der Kupferblatten II. zu finden.

[Marginalia: CXXVII. Philipp Uffenbach/ Mahler von Frankfurt.]PHilipp Uffenbach ist zu Frankfurt aus einem guten Geschlecht entsproßen/ und von seinen Eltern zur Kunst angehalten worden/ also daß er seinem Lehrmeister Adam Grimmer nicht ohne sonderem Nutzen aufs bäste gefolget/ unter seinen fürnehmsten Werken ware das Stuck/ so in der Prediger Kirchen in Frankfurt auf einem Altar noch zu sehen ist/ nämlich die Himmelfahrt Christi in Gegenwart seiner Aposteln/ nach alter Manier/ die er ihm sehr angelegen seyn ließ/ gemahlet. Ingleichen hat er auch den allda auf der Brucken stehenden grossen Thurn mit allerley Artlichkeiten übermahlt/ [Marginalia: Seine Arbeit.] und sonst allenthalben selbiger Orten seine Kunst genugsam verspüren lassen; Weil er aber sich stark auf die Alchimia und theologische Emblemata begeben/ und viel geschrieben/ sonst auch zu Zeit des Fettmilchs Uffenbach semble avoir participé à la politique antisémite conduite par Vinzenz Fettmilch (?–1616) entre 1612 et 1616 à Francfort. Le fait que les deux hommes se connaissaient est attesté par un portrait de Fettmilch par Uffenbach, daté de 1616 et conservé à Francfort/Main (Historisches Museum, Inv.-No. B 634). Sur le sujet, voir le catalogue d’exposition Der Fettmilch-Aufstand […] (Frankfurt/Main 1996).Anaïs Carvalho, 11/30/2011 in den burgerlichen Händeln ihme selbst viel zu schaffen geben/ wegen welcher er von vielen nicht geliebet worden/ hat er sich meistens zu Haus fast schlecht aufgehalten/ und ist endlich ungefähr Anno 1640. allda verschieden. Er ware des Adam Elsheimers Lehrmeister/ und ein großer Liebhaber aller Kunst-Werken/ besonderlich der alten teutschen Meistern/ die eines guten Geistes/ Vernunft und Verstand gewesen/ weil er selbst in den Regelen der Proportion, Geometria, Perspectiv und Anatomia wol erfahren/ und ob er


Translation by Anaïs Carvalho

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