Darstellungsoptionen
Im Text hervorheben bzw. anzeigen:

TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 370

Spaltenübergreifend
LE CHAPITRE XXVII
SEIZE GRAVEURS SUR CUIVRE FRANÇAIS DE NATION Ce chapitre de la Teutsche Academie rassemble des Vies de graveurs, dont certains avaient également en parallèle une activité d’éditeur et de marchand. Ce chapitre fait état d’un réseau social, solidaire et complexe : né en France, puis renforcé par l’expérience italienne pour la plupart de ses membres, et enfin affirmé par des actes administratifs, commerciaux et sociaux (comme des mariages et parrainages). Une part non négligeable de ces graveurs n’était pas directement familière à Sandrart : l’auteur, s’il ne connaît pas les hommes, a eu dans les mains des estampes principalement faites à Paris. Très actif et renommé, le milieu parisien des éditeurs, notamment de la rue Saint Jacques, est une des places fortes de la gravure dans la seconde moitié du XVIIe siècle. De plus, on constate que les graveurs peuplant ce chapitre ont fourni des estampes reproduisant les œuvres des peintres dont les biographies peuplent le chapitre 26 de la Teutsche Academie. Car, même si Sandrart insiste sur le nombre de vues d’architecture qu’il a pu voir de la main de ces graveurs français, les gravures de reproduction de tableaux circulaient aussi largement et lui ont permis d’apprécier l’évolution de quelques artistes comme Sébastien Bourdon (TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 369).Anaïs Carvalho, 30.11.2011
Contenu.

I. Bellange. Ses œuvres. II. Jacques Callot. Ses œuvres. Sa rapidité d’exécution pour graver à l’eau forte. III. Claude Mellan, de Paris. IV. Charles Audran Peltzer a annoté « Claude Audran I. » en se fiant au prénom indiqué par Sandrart (Teutsche Academie 1675/ Viten (Ed. Peltzer 1925), S. 412, Anm. 1150). Il semble pourtant que Sandrart se trompe ici. Il confond les prénoms des deux frères, Claude et Charles Audran. Car Sandrart relate des faits qui se rapportent à la vie de Charles (TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 371).Anaïs Carvalho, 30.11.2011, de Lyon. V. François et Nicolas de Poilly, de Paris. VI. Abraham Bosse. Son petit livre de gravure. De l’art de la perspective Sandrart utilise la base latine, Perspectiv.Anaïs Carvalho, 30.11.2011. De l’architecture Sandrart utilise la base latine, Architectur.Anaïs Carvalho, 30.11.2011. De la proportion En français dans le texte, Proportion.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 de l’homme. VII. Nicolas Perelle. VIII. Jean Marot. IX. Jean le Pautre. X. Henriet et Jean Morin. XI. Antoine Masson. XII. Huret, Daret et Dannoot. XIII. Lenfant. XIV. Michel Lasne. XV. Gilles Rousselet. XVI. Robert Nanteuil, de Paris.

Das XXVII. Capitel.
Sechzehn Kupferstechere Fran-
zösischer Nation. Ce chapitre de la Teutsche Academie rassemble des Vies de graveurs, dont certains avaient également en parallèle une activité d’éditeur et de marchand. Ce chapitre fait état d’un réseau social, solidaire et complexe : né en France, puis renforcé par l’expérience italienne pour la plupart de ses membres, et enfin affirmé par des actes administratifs, commerciaux et sociaux (comme des mariages et parrainages). Une part non négligeable de ces graveurs n’était pas directement familière à Sandrart : l’auteur, s’il ne connaît pas les hommes, a eu dans les mains des estampes principalement faites à Paris. Très actif et renommé, le milieu parisien des éditeurs, notamment de la rue Saint Jacques, est une des places fortes de la gravure dans la seconde moitié du XVIIe siècle. De plus, on constate que les graveurs peuplant ce chapitre ont fourni des estampes reproduisant les œuvres des peintres dont les biographies peuplent le chapitre 26 de la Teutsche Academie. Car, même si Sandrart insiste sur le nombre de vues d’architecture qu’il a pu voir de la main de ces graveurs français, les gravures de reproduction de tableaux circulaient aussi largement et lui ont permis d’apprécier l’évolution de quelques artistes comme Sébastien Bourdon (TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 369).Anaïs Carvalho, 30.11.2011
Innhalt.

I. Bellange: Seine Werke. II. Jacob Callot: Seine Werke: Seine Geschwindigkeit im ätzen. III. Claude Melan, von Pariß. IV. Claude Oderan, von Lyon Peltzer a annoté « Claude Audran I. » en se fiant au prénom indiqué par Sandrart (Teutsche Academie 1675/Viten (Ed. Peltzer 1925), S. 412, Anm. 1150). Il semble pourtant que Sandrart se trompe ici. Il confond les prénoms des deux frères, Claude et Charles Audran. Car Sandrart relate des faits qui se rapportent à la vie de Charles (TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 371).Anaïs Carvalho, 30.11.2011. V. Francois und Nicola Polly, von Pariß. VI. Abraham Bosse: Seine Büchlein vom ätzen: Von der Perspectiv-Kunst: Von der Architectur: Von der Proportion des Menschen. VII. Nicola Perelle. VIII. S. Marot. IX. Jean de Potre. X. Israel und Morin. XI. Antoine Masson. XII. Huret, Daret und Dannoit. XIII. L’Enfan. XIV. Michaël L’Asne. XV. Aegidius Roussellet. XVI. Robert Nantuël, von Pariß.


Linke Spalte

[Marginalspalte: I. Bellange. Sur Jacques de Bellange, voir aussi Cat. Vic-sur-Seille/Nancy 2008.Anaïs Carvalho, 30.11.2011]Après avoir parlé des premiers peintres talentueux de la nation française, je veux aussi prendre comme sujet ses plus célèbres graveurs sur cuivre et ceux qui ont, avec raison, gravé à l’eau-forte ; ainsi ce Bellange a été l’un des plus anciens qui grava Sandrart utilise la base latine, radirt.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 à l’eau-forte sur le cuivre et qui a adopté une manière particulièrement bonne [Marginalspalte: Ses œuvres.] comme le montrent ses diverses impressions faites sur cuivre, en particulier Les Rois mages L’indication du sujet ne permet pas de préciser s’il s’agit d’une Adoration des mages ou de figures isolées comme celles conservées par exemple à Chicago : Gaspard, n. d., eau-forte, 278 x 162, Chicago, Art Institut, John H. Wrenn Memorial Collection, Inv.-Nr. 1942.267 ; Balthazar, n. d., eau-forte, 287 x 163, Chicago, Art Institut, John H. Wrenn Memorial Collection, Inv.-Nr. 1942.268 ; Melchior, n. d., eau-forte, 285 x 161, Chicago, Art Institut, John H. Wrenn Memorial Collection, Inv.-Nr. 1942.269.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, Les trois Maries qui retournent au tombeau du Christ : on peut aussi voir de lui un mendiant aveugle qui se bat avec ses compagnons, des bossus et des boiteux, et les frappe avec sa béquille, ainsi que de belles femmes délicates et bien d’autres encore. Il fut le premier inventeur et initiateur d’une manière délicate de graver l’histoire complète, et ensuite Mattheaus Merian et Jacques Callot, ainsi que d’autres, ont puisé chez lui leur art qui fut alors presque plus utilisée que la gravure sur cuivre.

[Marginalspalte: II. Jacques Callot.]Jacques Callot fut un élève de Bellange, né d’une famille noble de Lorraine à Nancy en 1589. Comme il avait une grande soif de vertu et d’art, il s’est donc formé à l’art du dessin et à ses règles, et après qu’il ait voyagé à travers toute l’Italie, et que, partout, il ait montré avec application et soin dans ses études sa dévotion, il s’est finalement installé à Florence Jacques Callot vécut à Florence de 1612 à 1621 (Cat. Nancy 1992, p. 61–70).Anaïs Carvalho, 30.11.2011, et, parce que la peinture était trop difficile pour lui, mais qu’en revanche la gravure lui était venue de façon étonnante, il s’en est tenu à cette dernière ; là, premièrement, il a fait beaucoup de choses isolées, [Marginalspalte: Ses œuvres.] et après, a créé son petit livre des Caprices En italien dans le texte, Capricio. Les Caprices, n. d., série de 50 planches (48 compositions, un frontispice, une dédicace à Laurent de Médicis), ca. 80 x 60, signée I. Callot F. In aqua / Forte in Fior. Réalisée une première fois dans le cuivre à Florence probablement en 1617, puis gravée à nouveau à Nancy en 1621 par Callot lui-même, la série a été copiée dès 1621 à Paris et à Nuremberg (Cat. Nancy 1992, p. 233–240).Anaïs Carvalho, 30.11.2011, une œuvre excellente, et encore d’autres pièces recherchées et dignes d’éloges comme le marché florentin de San Lorenzo Sandrart confond sûrement avec la foire de la Saint Luc à Impruneta puisqu’il semble évoquer, par la description et par la nomination du Grand Duc (Cosme II), l’une des plus fameuses gravures de Callot, La Foire de l’Impruneta, exécutée en 1620 (Cat. Nancy 1992, p. 241–257).Anaïs Carvalho, 30.11.2011, où l’on peut voir une foule de surprenantes et délicates figures d’une très grande exactitude, disposée de telle sorte qu’il régna sur l’eau-forte, et qu’avant et après jamais œuvre aussi parfaite Sandrart utilise la base latine,perfectes.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 ne vit le jour. À son propos, de manière très mémorable Sandrart utilise le terme français, memorabel.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, le talentueux Cornelis van Poelenburgh

[Marginalspalte: I. Bellange. Sur Jacques de Bellange, voir aussi Cat. Vic-sur-Seille/Nancy 2008.Anaïs Carvalho, 30.11.2011]AUf erst-erzehlte Kunst-reiche Mahlere der Französischen Nation/ nehme ich zugleich auch Ursach/ derselben berühmtesten Kupferstecher/ und die mit Scheidwaßer vernünftig geätzt/ zu gedenken/ wie dann dieser Belange der ältesten einer/ so in Kupfer radirt/ gewesen/ und eine besonders gute Manier angenommen/ wie [Marginalspalte: Seine Werke.] aus vielfältigen seinen in Kupfer ausgegangenen Drücken/ als sonderlich denen dreyen Königen/ Eine der frühesten Auseinandersetzungen Bellanges mit dem Thema der Anbetung der Könige ist heute nur noch durch einen Stich Crispin de Passes überliefert. Für ein weiteres Blatt mit der Darstellung der Anbetung der Könige hat sich in München eine Vorzeichnung erhalten. Vgl. Kat.-Rennes 2001, S. 232.Julia Kleinbeck, 20.07.2009 L’indication du sujet ne permet pas de préciser s’il s’agit d’une Adoration des mages ou de figures isolées comme celles conservées par exemple à Chicago : Gaspard, n. d., eau-forte, 278 x 162, Chicago, Art Institut, John H. Wrenn Memorial Collection, Inv.-Nr. 1942.267 ; Balthazar, n. d., eau-forte, 287 x 163, Chicago, Art Institut, John H. Wrenn Memorial Collection, Inv.-Nr. 1942.268 ; Melchior, n. d., eau-forte, 285 x 161, Chicago, Art Institut, John H. Wrenn Memorial Collection, Inv.-Nr. 1942.269.Anaïs Carvalho, 30.11.2011/ dreyen Marien/ die sich zum Grab Christi wenden Das Thema der Frauen am Grab greift Bellange mehrfach in seinem Œuvre auf. Möglicherweise ist das Blatt angesprochen, welches zusätzlich einen auf dem Sarkophag sitzenden Engel zeigt. Denkbar hingegen auch, dass Sandrart an den Stich der Drei weiblichen Heiligen denkt, der in einer Kopie von Matthäus Merian d.Ä. vorliegt und mit einer Inschrift versehen wurde, welche die Heiligen als Drei Marien bezeichnet.Julia Kleinbeck, 20.07.2009: Item/ einem blinden Leyrer/ der mit seinen Compagnien/ als Krummen und Lahmen/ rauft/ und selbige mit der Krucken schlägt/ auch denen zierlichen schönen Frauen/ und mehrern dergleichen/ so von ihme herfür kommen/ zu sehen ist. Er war der erste Erfinder und Urheber des zierlichen ätzens ganzer Historien/ von deme auch nachmalen Matthaeus Merian und Jacob Calot/ neben andern/ ihre Kunst hergenommen/ die nun fast mehr/ als das Kupferstechen/ gebraucht wird.

[Marginalspalte: II. Jacob Callot.] JAcob Callot war ein Lehrling des Bellange Callot begann am 16.01.1607 eine vierjährige Lehre bei dem Goldschmied und Graveur der Münze von Nancy Demange Crocx (vgl. AKL, Bd. XV, S. 608 f.). Sandrart ist der einzige Historiograph, der Bellange als Lehrmeister Callots einführt. In der lateinischen Ausgabe der Teutschen Academie schwächt Sandrart diese Aussage nur unwesentlich ab, indem er von »Discipulus erat Bellangii« (Sandrart, Academia 1683, S. 374) spricht. Callot suchte Kontakt zum Kreis um Bellange und verfolgte die Arbeiten an der Stichfolge zu den Trauerfeierlichkeiten von Charles III. Von einem vertraglich geregelten Ausbildungsverhältnis kann aber nicht ausgegangen werden; vgl. Kat. Nancy 1992, S. 83.Julia Kleinbeck, 24.10.2011, von Adelichem Geschlecht aus Lothringen/ und zu Nancy Anno 1589. gebohren Hier irrt Sandrart: Callot wurde im Jahr 1592 geboren (zwischen 25. März und 21. August); vgl. AKL, Bd. XV, S. 608 f./Kat. Dresden 1992/93, S. 26.Julia Kleinbeck, 24.10.2011/ wie er nun aber eine große Begierde zur Tugend und Kunst gehabt/ also hat er sich auch auf die Zeichen-Kunst und angehörige Reglen gelegt/ dann nachdem er ganz Italien wol durchreißt Die Abreise Callots nach Rom ist unzureichend dokumentiert: Wahrscheinlich ist diese zwischen 1608 und 1611 zu datieren. In Rom wird Callot Gehilfe des Kupferstechers Philippe Thomassins (vgl. AKL, Bd. XV, S. 608 f.)Julia Kleinbeck, 24.10.2011/ und überal mit Fleiß und Sorgfalt in diesen Studien seinen Frommen geschaft/ hat er sich endlichen zu Florenz gesetzt Ab 1612 ist Callot in Florenz und radiert dort unter Leitung Antonio Tempestas 18 Blätter für die Trauerfeierlichkeiten für die Königin von Spanien; vgl. Kat. Nancy 1992, S. 61.Julia Kleinbeck, 24.10.2011 Jacques Callot vécut à Florence de 1612 à 1621 (Cat. Nancy 1992, p. 61–70).Anaïs Carvalho, 30.11.2011/ und ist allda/ weil das Mahlen ihme zu schwer/ hingegen aber das ätzen verwunderlich von statten gegangen/ bey dem letztern verblieben/ da er dann erstens [Marginalspalte: Seine Werke.] sehr viel einzele Sachen gemacht/ hernacher aber sein Capricio-Büchlein/ als ein fürtrefliches Werk/ mit andern mehr raren und preißwürdigen Stucken/ als den Florentiner Marck Di S. Lorenzo, worinnen ein verwunderlich-zierliche Mänge Bilder und sehr große Sauberkeit zu sehen/ also eingerichtet/ daß er das Etzwaßer dergestalt regiert/ daß vor und nach dergleichen perfectes Werk nie ans Liecht gekommen/ von welchem dann auch sehr memorabel der Kunstreiche Cornelius von Pulenburg Sandrart ist der einzige Historiograph, der die Freundschaft zu Cornelis Poelenburg betont; vgl. Kat. Nancy 1992, S. 83.Julia Kleinbeck, 25.10.2011/


Rechte Spalte

raconta que, lorsqu’en ce temps-là il était au service du Grand Duc et que, le soir venu, Callot lui rendait souvent visite et se promenait en sa compagnie, [Marginalspalte: Sa rapidité d’exécution pour graver à l’eau forte.] qu’il serait un jour venu chez lui pour le chercher, mais qu’il s’excusa de ne pouvoir l’accompagner puisqu’il venait juste de verser l’eau-forte, et que néanmoins, ce même soir, il se serait mis à sa disposition pour compléter, parfaire et finir l’impression. Il fut très surprenant de voir comment celui-ci rendait toujours possible que tout, sur une si grande œuvre, parvienne sans aucune retouche En (ancien) français dans le texte, retochement.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 à une incroyable perfection En français dans le texte, Perfection.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 et excellence. Il produisit aussi d’autres nombreuses œuvres magnifiques là-bas, et en France, comme celles du Siège de La Rochelle, de Breda et d’autres sur de très grands cuivres, ainsi que de nombreux petits livres de saints et autres types de dispositions, des paysages, des ruines, des fantaisies, et surtout des batailles, des campagnes militaires, et en même temps l’étonnant livre appelé Les misères de la guerre, une œuvre particulièrement imaginée qui montre la douleur, la détresse et la misère de la guerre (nombreux furent ceux qui s’en inspirèrent grandement) ; avec toutes celles-ci, Callot a si bien répandu son nom dans tous les pays et fait sa gloire, qu’il put finir sa vie avec grande satisfaction En italien dans le texte, Contento.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 à Nancy le 22 mars 1635. Son portrait se trouve sur la planche gravée LL.

[Marginalspalte: III. Claude Mellan, de Paris. Sur Claude Mellan, voir Préaud 2000 et Préaud/Brejon de Lavergnée 1988.Anaïs Carvalho, 30.11.2011]À la même époque, Claude Mellan était très affairé à s’élever dans la peinture et la gravure, mais parce qu’il trouvait que son génie En latin dans le texte, Genius.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 le poussait bien plus vers la gravure que vers la peinture, il choisit la noble manière du père de l’art Aegidius Sadeler Sandrart désigne Aegidius Sadeler comme père de l’art car il a lui-même étudié à ses côtés à Prague en 1622 (TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 356 ; Klemm 1986, p. 14).Anaïs Carvalho, 30.11.2011 et poursuivit Sandrart utilise la base latine, continuirte.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 dans cette manière de nombreuses années à Rome, ainsi il exécuta ensuite une grande quantité de portraits de princes renommés, parmi lesquels le distingué portrait du pape Urbain, ceux de la galerie Vincenti Giustiniani à Rome, que j’ai dessinés pour la plupart sur papier in-folio ainsi que toutes les statues et dont il a reporté un grand nombre sur cuivre, et aussi celui du cardinal Bentivoglio, du maréchal de Créquy, du cardinal Borghèse, et d’autres portraits et thèses En français dans le texte, Theses. Sandrart fait référence au genre de l’illustration de thèses, apparu en France vers 1600 et développé vers 1625–1630. Les thèses de l’époque, éditées à l’occasion de leur soutenance, étaient publiées sous forme d’affiche, ou de grande feuille imprimée, et étaient ornées d’une illustration. La partie illustrée, dont l’étendue variait d’une thèse à l’autre, était davantage liée à la dédicace qu’au contenu de la thèse. Ainsi, les portraits du roi, des ministres ou autres personnages éminents prenaient très souvent place au sein de ces illustrations, qui procuraient une importante source de revenu pour les dessinateurs et les graveurs (voir à ce sujet Meyer 2007, p. 31–39).Anaïs Carvalho, 30.11.2011, et titres de livres On peut citer en exemple le frontispice du Traité qui contient la méthode la plus facile et la plus assurée pour convertir ceux sont séparés de l’Église, du cardinal de Richelieu (Paris, 1651), titré « LE GRAND ARMAND CARD DUC DE RICHEL », dont une estampe est conservée au Musée de l’Armée à Paris (Inv.-Nr. 3995).Anaïs Carvalho, 30.11.2011, pour lesquels il rencontra à

als der ebenmäßig damalen in des Groß-Herzogs Diensten gewesen/ und gegen Abend meistens [Marginalspalte: Seine Geschwindigkeit im ätzen] ihn Calot besuchet/ auch im Spatzierengehen ihm Gesellschaft geleistet/ erzehlet/ daß er einst zu ihm/ da er eben das Etzwaßer aufgegoßen/ um ihne abzuholen gekommen wäre/ da er sich aber mit zu gehen entschuldiget/ und gleichwol noch selbigen Abend mit völlig- und vollkommen-vollendetem Druck zu ihnen sich verfüget hätte/ welches wol verwunderlich zu sehen gewesen/ wie nämlichen immer möglich/ daß alles ohn einiges retochement bey so großem Werk zu unglaublicher Perfection und Vollkommenheit gebracht werden können. Er gab aber auch und sonsten viel andere herrliche Werk allda und in Frankreich/ als nämlichen die Belägerung Rochelle, Breda, und andere/ auf sehr großes Kupfer/ neben vielen Büchlein von Heiligen und anderer Art Stellungen/ Landschaften/ Ruinen/ Gespänsten/ sonderlich aber Bataglien/ Feldzügen/ und zugleich das verwunderliche Büchlein/ genant Le Misere della Guerre, als ein besonder ausgesonnenes Werk/ von des Kriegs Jammer/ Elend und Noht (wornach von vielen sehr getrachtet worden) ans Liecht/ mit welchem allen Calot seinen Namen dermaßen in allen Landen ausgebreitet und ruhmwürdig gemacht/ daß er mit hohem Contento seinen Lebens-Lauf zu Nancy Anno 1635. den 22. Martii beschließen können. Das Todesdatum wird für den 24. oder 25.03.1635 angenommen; vgl. AKL, Bd. XV, S. 608 f.Julia Kleinbeck, 25.10.2011 Deßen Contrafät ist in der Kupferblatte LL. zu finden.

[Marginalspalte: III. Claudi Melan von Pariß. Sur Claude Mellan, voir Préaud 2000 et Préaud/Brejon de Lavergnée 1988.Anaïs Carvalho, 30.11.2011]ES war Claudi Melan zur selbigen Zeit sehr geschäftig/ sich selbsten in Mahlerey und Kupferstechen zu erheben/ weil er aber befunden/ daß sein Genius ihn viel mehr zum Kupferstechen als Mahlen antrieben/ erwehlte er die edle Manier des Kunst-Vatters Aegidii Sadelers Sandrart désigne Aegidius Sadeler comme père de l’art car il a lui-même étudié à ses côtés à Prague en 1622 (TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 356 ; Klemm 1986, p. 14).Anaïs Carvalho, 30.11.2011/ und continuirte darinnen viel Jahr zu Rom/ wie er dann eine große Mänge Weltkündiger Prinzen/ darunter fürnemlich des Papsts Urban Contrafät/ Vincentii Justiniani Galleria zu Rom/ die ich meist auf Papyr samt allen Statuen in folio gezeichnet/ deren viel er zu Kupfer gebracht/ auch des Cardinals Bentivoglio, Mareschal Crequy, Cardinal Borges, und anderer Contrafäte/ und Theses, En français dans le texte, Theses. Sandrart fait référence au genre de l’illustration de thèses, apparu en France vers 1600 et développé vers 1625–1630. Les thèses de l’époque, éditées à l’occasion de leur soutenance, étaient publiées sous forme d’affiche, ou de grande feuille imprimée, et étaient ornées d’une illustration. La partie illustrée, dont l’étendue variait d’une thèse à l’autre, était davantage liée à la dédicace qu’au contenu de la thèse. Ainsi, les portraits du roi, des ministres ou autres personnages éminents prenaient très souvent place au sein de ces illustrations, qui procuraient une importante source de revenu pour les dessinateurs et les graveurs (voir à ce sujet Meyer 2007, p. 31–39).Anaïs Carvalho, 30.11.2011 und Titul zu Büchern On peut citer en exemple le frontispice du Traité qui contient la méthode la plus facile et la plus assurée pour convertir ceux sont séparés de l’Église, du cardinal de Richelieu (Paris, 1651), titré « LE GRAND ARMAND CARD DUC DE RICHEL », dont une estampe est conservée au Musée de l’Armée à Paris (Inv.-Nr. 3995).Anaïs Carvalho, 30.11.2011 verfärtiget/ wordurch er zu


Übersetzung von Anaïs Carvalho

Originaltext