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TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 291

Linke Spalte

[Marginalspalte: Va à Rome.]là a contemplé les prestigieuses statues Sandrart utilise la base latine, Statuen.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 de l’antique Sandrart utilise la base italienne, Antichen.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, aussi les œuvres de Michel-Ange, Léonard de Vinci, Raphaël d’Urbino et d’autres ; il a pourtant émis des réserves à les suivre totalement, tandis que la manière vénitienne précédemment citée lui convenait mieux. [Marginalspalte: Ses œuvres à Rome.] Il peignit là deux retables pour le duc de Mantoue, l’un avec des saints debout, mais l’autre envahi de saintes, le tout en grandeur nature, placé près du maître autel à Rome dans la Chiesa Nova et encore visible. Il exécuta également dans la même ville La Crucifixion du Christ, solidement cloué par les deux mains mais suspendu sans entrave avec les pieds libres d’une manière peu commune, représenté d’habitude plein de sentiments et d’esprit avec beaucoup de figures, et ce tableau sert maintenant de retable pour la petite église Sainte Croix de Jérusalem dans la même ville.

Il ne s’attarda pas longtemps à un perfectionnement accepté avec bonheur ainsi qu’à rassembler des curiosités Sandrart utilise la base latine, Curiositäten.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 variées et utiles pour ses études Sandrart utilise la base latine, Studien.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, tant pour les autres que pour lui-même, mais partit à Mantoue où il osa faire de meilleurs profits et, ensuite par Venise, retourna chez l’archiduc Albert dans sa patrie ; [Marginalspalte: Revient en Flandre] là il s’installa chez lui et à cause de son éloquence, des différentes langues parlées et de son comportement courtois, il acquit une haute réputation auprès de tout le monde. D’autant plus que, puisqu’à l’époque à l’ombre de la paix, tous les Pays-Bas furent remplis de richesse et, en même temps, contaminés par l’amour de l’art que presque personne n’était prêt à rassasier, vu qu’une partie des artistes n’avait pas encore eu de don pour la parfaite science des grandes figures, et que l’autre partie était trop ennuyée par un tel travail et avait plus d’appétit à aller se promener et chercher société, qu’à s’attacher au travail ; [Marginalspalte: et là même jouit d’un grand prestige.] quant à lui, Rubens, était doué par la nature de manière complètement différente ; il ne se plaisait qu’en compagnie des plus remarquables personnes de la ville ; exerçait son travail Sandrart utilise l’expression latine, laboriren expedit.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 avec zèle, était courtois et amical avec tout le monde, apprécié et aimé par tous, et a rendu de grands services à sa profession En français dans le texte, Profession.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 ; il a aussi fait ensuite un très beau mariage et, avec ça, son bonheur a grandi de plus en plus, d’autant plus que à ce moment sa réputation se diffusait peu à peu à travers l’ensemble des Pays-Bas du Nord et du Sud, à tel point que les potentats ne furent pas les seuls à vouloir quelques unes de ses œuvres, mais aussi presque chaque amateur particulier En latin dans le texte, particular.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 des Pays-Bas s’est acheté quelque chose de sa main, que leur descendance tient encore en grande estime et conserve.

Il s’appliqua tout le temps à ce que ses inventions Sandrart utilise le terme latin, Inventiones.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 soient extrêmement pleines de grâce, soucieuses de l’effet et joyeuses, le dessin délicat, les coloris Sandrart utilise la base latine, Coloriten.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 les plus beaux, agréables à l’œil et faits des couleurs plaisantes, [Marginalspalte: Ses œuvres.] comme le montrent les innombrables œuvres transposées en gravure auxquelles, par souci de la bien-aimée brièveté, je renvoie le lecteur bienveillant. Il faut seulement se souvenir de ses œuvres les plus remarquables, il a ainsi peint entre autres pour le roi de France la galerie de Paris du Palais du Luxembourg, représentant la vie du roi Henri IV et de son épouse

[Marginalspalte: Komt nach Rom.] daselbst die löbliche Statuen der Antichen, auch die Werke von Michaël Angelo, Leonardo da Vince, Raphaël d’ Urbino, und andere genau betrachtet/ jedoch gänzlich zu folgen Bedenken gehabt/ indem ihm vorgemeldte Venetianische Manier mehr angestanden. Er mahlte allda zwey [Marginalspalte: Seine Werke zu Rom.] Altar-Blätter für den Herzogen von Mantua/ das eine mit stehenden heiligen/ das andere aber mit den Heiliginnen erfüllt/ alles in Lebens-Größe/ so noch zu Rom in Chiesa Nova, neben dem hohen Altar gestellt/ zu sehen ist. Ingleichem verfärtigte er in selbiger Stadt die Creutzigung Christi/ welcher an den beyden Händen fäst angenagelt ist/ mit den Füßen aber ledig und frey henket/ auf ungemeine Weiß/ sonsten mit vielen Bildern sehr herzhaft und Geistreich ausgebildet/ und dienet jetzo für ein Altar-Blat in selbiger Stadt kleinem Kirchlein Asanta Croce in Jerusalem.

Mit so glücklich-angenommener Verbäßerung/ auch für andere und für sich selbst gesamleten vielfältigen zu seinen Studien dienlichen Curiositäten/ säumete er sich nicht lang/ sondern zoge nach Mantua/ allwo er ihme bäßern Nutzen zu schaffen getrauete/ und dann durch Venedig wieder zu dem [Marginalspalte: Komt wieder zuruck in Niderland/] Erz-Herzog Albert in sein Vatterland/ alda er sich häußlich nidergesetzt/ und wegen seiner Wolredenheit/ unterschiedlichen Sprachen und höflichen Wandels bey jederman in hohes Ansehen kommen ist. Rubens wurde am 23.09.1609 von Isabella und Albrecht VII. zum Hofmaler ernannt; vgl. Klemm, Kommentar Viten 1995, S. 863, Anm. 520,36.Christina Posselt, 28.06.2011 Zumal weil eben damals ganz Niderland unter dem Schatten des Friedens/ mit Reichthum angefüllet/ und zugleich mit der Liebe zur Kunst angestecket wurde/ welche zu sättigen fast niemand verhanden war Im Jahre 1609 wurde der Waffenstillstand zwischen Spanien und den nördlichen Niederlanden geschlossen, der zwölf Jahre andauerte. Ebenso wie Sandrart seiner Hoffnungen auf eine verbesserte Situation für die Künste nach dem Westfälischen Frieden Ausdruck verleiht (vgl. TA 1675, Lebenslauf, S. 18), äußert sich auch Rubens in einem Brief an Johannes Faber über das erwartete Aufblühen des Landes (vgl. Martina Dlugaiczyk: Der Waffenstillstand (1609–1621) als Medienereignis. Politische Bildpropaganda in den Niederlanden, Diss. Phil. Univ. Kassel, Münster 2005, S. 193); vgl. Klemm, Kommentar Viten 1995, S. 863, Anm. 521,3.Christina Posselt, 28.06.2011; indeme theils Künstlere keine Gab noch völlige Wißenschaft in großen Figuren gehabt/ theils gar zu verdroßen zu solcher Arbeit waren [Marginalspalte: und daselbst in großes Ansehen.]/ und mehr ihrem Appetit in spaßieren gehen/ und Gesellschaft suchen/ als der Arbeit nachgehangen; dahero er/ Rubens/ von Natur ganz anderst gesinnt/ indem er sich nur zu den fürnehmsten der Stadt gesellet/ in seinem laboriren expedit und fleißig/ gegen jederman höflich und freundlich/ bey allen angenehm und beliebt worden/ und in seiner Profession großen Nutzen geschaft; auch daraufhin seinen sehr fürträglichen Heurat gethan Am 13.10.1609 schließt Rubens seine erste Ehe mit Isabella Brant (1591–1626); vgl. Klemm, Kommentar Viten 1995, S. 863, Anm. 521,15.Christina Posselt, 28.06.2011/ und damit sein Glück mehr und mehr gemehret/ zumal da sein Ruff nach und nach durch ganz Hoch- und Nider-Teutschland dermaßen erschollen/ daß nicht allein alle Potentaten von seinen Kunststucken etwas zu haben verlangt/ sondern auch fast jede particular-Liebhaber in Niderland sich von seiner Hand etwas geschaft/ dern Nachkömmlinge es noch in großen Ehren halten und bewahren.

Er befliße sich allezeit dahin/ daß seine Inventiones ungemein/ anmuhtig/ werksam und frölich/ die Zeichnung zierlich/ die Coloriten aufs allerschönst mit den Augen angenehmen und gefälligen [Marginalspalte: Seine Werke.] Farben erfüllt/ seyn möchten: wie dann solches unzahlbare in Kupfer gebrachte Werke gnugsam an den Tag geben/ wohin ich geliebter Kürze halben den günstigen Leser will angewiesen haben. Seiner fürnehmsten Werke nur zu gedenken/ so mahlte er unter andern für den König in Franckreich die Galleria in Paris/ den Lutzenburger Pallast/ das Leben König Heinrichs des Vierdten und seiner Gemahlin/


Rechte Spalte

Marie de Médicis, avec allégories En italien dans le texte, Allegoricè.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, de manière poétique Sandrart utilise la base latine, Poëtisch.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 et d’une grande profondeur d’esprit, il a grâce à cela acquis rapidement grand éloge et bonne rétribution. Après cela il a réalisé de nombreuses grandes œuvres pour le roi d’Espagne et autres nobles cavaliers non sans une excellente récompense ; après cela, un peu partout, on ne racontait et ne parlait que de Rubens.

[Marginalspalte: Rend visite aux artistes en Hollande.]Mais pendant ce temps sa femme tomba malade et sans médicaments qui lui soient profitables sa vie s’arrêta bien vite ; il voyagea en Hollande pour oublier la tristesse et pour rencontrer là les nombreux excellents peintres dont il avait beaucoup vu et entendu parler. Ainsi il vint à Utrecht chez Honthorst qui l’a bien accueilli et lui a montré ce qu’il avait sous la main, dont aussi un Diogène une lanterne dans la main qui en plein jour cherchait des gens sur une place pleine de monde à Athènes. Rubens en aima certes bien l’invention En français dans le texte, Invention.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 mais il vit pourtant bientôt que cela seul avait pu être fait par un jeune peintre comme ceux qui se trouvaient en grand nombre dans l’atelier ; c’est pourquoi il désira savoir qui avait fait ce Diogène. Honthorst lui répondit : Ce jeune Allemand et il me désigna, là-dessus avec son approbation pour ce début, il m’a donné l’occasion de réfléchir et de travailler encore et toujours plus sérieusement, et a ainsi regardé le reste avec bonne satisfaction En français dans le texte, Satisfaction.Anaïs Carvalho, 30.11.2011. Quand plus tard il voulut rencontrer Abraham Bloemaert, Cornelius van Poelenburgh et d’autres, et parce qu’Honthorst ne pouvait pas l’accompagner à cause de quelque indisposition, il demanda à ce que je lui soit envoyé ; c’est ainsi que je lui ai alors ensuite tout montré à sa grande satisfaction En italien dans le texte, Contento.Anaïs Carvalho, 30.11.2011. Après que Honthorst ait offert un banquet en son honneur, il partit ensuite pour Amsterdam et d’autres lieux de Hollande où, en quatorze jours, il vit tout ce qui y était digne d’intérêt, tandis que moi, je l’ai servi de bonne grâce, comme un artiste qui pouvait me donner l’occasion dans ma profession En français dans le texte, Profession.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 d’acquérir une plus grande science par des discours, des conseils, des mots et des œuvres, et je l’ai accompagné jusqu’aux frontières brabançonnes. Je pourrais ainsi beaucoup écrire sur ce voyage et sur son comportement vertueux, mais je conclurais rapidement le tout, par le fait que tout comme il a été excellent dans son art, de même je l’ai donc trouvé parfait dans toutes autres vertus et à cause de cela je l’ai vu apprécié tant par des personnes haut placées et que de basse distinction. [Marginalspalte: Son jugement sur la peinture hollandaise.] Entre autres pendant ce voyage, il loua beaucoup la manière parfaite de van Honthorst en particulier pour peindre les nuits, la noblesse du dessin de Bloemaert et les petites figures convenables de Poelenburg qui, à la manière de Raphaël, furent associées à de délicats paysages, des ruines, des animaux et autres choses de la sorte ; c’est la raison pour laquelle Rubens en a commandé un bon nombre pour lui-même, pour se perfectionner.

Après cela il fit de nombreuses et grandes œuvres pour le roi d’Angleterre Charles Stuart et pour le duc de Buckingham à voir à la Banqueting House et à Jeerk ; [Marginalspalte: Sa façon d’enseigner à ses élèves.] pour travailler rapidement à ces œuvres, il a fait appel à de nombreux jeunes élèves, les a orientés chacun selon sa meilleure inclination En français dans le texte, Inclination.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 et capacité Sandrart utilise la base française, Capacität.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, qui l’ont imité et sensiblement aidé,

Maria de Medicis, Allegoricè, Poëtisch und allermaßen sinnreich/ womit er großes Lob und reiche Bezahlung in kurzer Zeit erhalten. Nach solchen färtigte er viele große Werke für den König in Spanien Hierunter sind insbesondere die umfangreichen mythologischen Dekorationen für das Jagdschloss Torre de la Parada zu nennen, die 1636–38 überwiegend von Rubens’ Werkstatt ausgeführt wurden; vgl. dazu das ausgewählte Beispiel Apollo und Daphne und Klemm, Kommentar Viten 1995, S. 863, Anm. 522,1 f.Christina Posselt, 28.06.2011 und andere Cavallier/ nicht ohne mindern herrlichen Ruhm: dannenhero allenthalben allein von Rubens geredt und gesagt wurde.

[Marginalspalte: Besucht die Künstlere in Holland.] Weil aber indeßen ihm seine Frau erkrankte/ und ohne Ersprießungen der Arzneyen ihr Leben ganz schleunig endete/ verreiste er/ die Traurigkeit zu vergeßen/ nach Holland/ um alda die vielfältige fürtrefliche Kunst-Mahlere/ worvon er viel gesehen und gehört/ zu besuchen. Rubens kehrte 1627 in diplomatischer Mission nach Holland zurück, um in Brüssel mit dem englischen Agenten Balthazar Gerbier über den Frieden zu verhandeln, den Karl I. von England mit Spanien zu schließen beabsichtigte; vgl. Klemm, Kommentar Viten 1995, S. 863, Anm. 522,7.Christina Posselt, 28.06.2011 Also kame er auch nach Utrecht zu dem von Hundhorst/ welcher ihn wol empfangen/ und alles unterhanden habende gezeigt/ unter andern auch einen Diogenes mit einer Laternen in der Hand/ so bey hellem Tag auf dem von Volk-erfülten Platz zu Athen Menschen suchte. Dem Rubens beliebte zwar die Invention wol/ sahe aber doch alsobald/ daß selbiges nur ein junger Mahler/ deren in dem Zimmer viel beysammen stunden/ gemacht; daher er zu wißen begehrte/ wer diesen Diogenes angefangen/ Hundhorst antwortet: Dieser junge Teutsche/ und zeigte auf mich/ worauf er mit Gutheißung dieses Anfangs mir zu fernerm fleißigen nachsinnen und arbeiten Anlaß gegeben/ und also das übrige mit guter Satisfaction durchsehen. Als er ferner den Abraham Blomart/ Cornelius Pullenburg/ und andere/ besuchen wolte/ Hundhorst aber/ wegen etwas Unpäßlichkeit/ ihn nicht begleiten konte/ begehrte er mich mit ihme zu schicken/ wie ich ihme dann auch alles zu seinem großen Contento gewiesen. Nachdem ihm nun Hundhorst ein Banquet gehalten/ reißte er fürters nach Amsterdam und in andere Oerter Hollands/ allwo er inner 14. Tagen alles/ was löblich darinnen/ durchsehen/ worbey ich ihme/ als einem Künstler/ der in meiner Profession mir mit reden/ rahten/ Worten und Werken/ zu großer Wißenschaft Anlaß geben konte/ willig aufgewartet/ und bis in die Brabandische Gränzen begleitet; Da ich dann viel von diser Reiß und seinem Tugendsamen Verhalten zu melden wüste/ will aber alles kürzlich darein schließen/ daß/ gleichwie er in seiner Kunst fürtreflich gewesen/ also ich ihn in allen andern Tugenden vollkommen gefunden/ und dannenhero von hohen und niedern Stands-Personen [Marginalspalte: Rubens Urtheil über die Holländische Mahlere.] in hohem Wehrt halten sehen. Unter andern lobte er/ auf dieser Reiß/ sehr des von Hundhorst vollkommene Manier zu mahlen/ besonders in Nachtstücken; Des Blomarts edle Zeichen-Kunst/ und Pullenburgs In der Vita Cornelis Poelenburgs erwähnt Sandrart ebenfalls das Zusammentreffen mit Rubens, das er vermittelt habe (vgl. TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 305; vgl. Klemm, Kommentar Viten 1995, S. 864, Anm. 522,23.Christina Posselt, 28.06.2011 vernünftige kleine Figuren/ die auf Raphaels Weise/ mit zierlichen Landschaften/ Ruinen/ Thieren und dergleichen/ vergesellschaftet waren/ weswegen Rubens etliche für sich zu verfärtigen ihme bestellet hat.

Nach diesem machte er viele große Werke für den König in Engeland Carlo Stuart, und Herzog von Buckingam, wie allda in den Häusern Banchetin Rubens malte 1630–34 eine Apotheose Jakobs I. für die Decke des Banqueting House in Whitehall, das von Inigo Jones erbaut wurde; vgl. Klemm, Kommentar Viten 1995, S. 864, Anm. 523,13.Christina Posselt, 28.06.2011 und Jeerk zu sehen/ zu solcher großen Werke Beschleunigung zoge er ihme selbst viele junge [Marginalspalte: Seine Art die Discipel zu unterrichten.]Leute zu Hülf/ richtete sie fleißig ab/ jeden nach seiner bästen Inclination und Capacität/ die ihm nachmalen in dem seinen merklich geholffen haben/


Übersetzung von Anaïs Carvalho

Originaltext