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TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 371

Linke Spalte

Pariß/ (woselbst er noch seyn solle) in hohes Ansehen gerahten/ und dem Bedunken nach/ wegen seines großen Alters/ die Kunst was leichters an ihm worden ist. In der lateinischen Edition der Teutschen Academie an dieser Stelle der Zusatz: »et nuper demum opus iterum edidisse statuarum Antiquarum simplici decussatione enarratarum summa cum elegantia, quod existimationi ejus haud parvum adjiciet augmentum« (Sandrart, Academia 1683, S. 374); vgl. Sponsel 1896, S. 44/Teutsche Academie 1675/Viten (Ed. Peltzer 1925), S. 412, Anm. 1149.Julia Kleinbeck, 19.10.2011

[Marginalspalte: IV. Claudi Oderan, von Lyon. Ici Sandrart se trompe, il s’agit de Charles Audran. La présence de Charles Audran à Rome est attestée entre 1627–1628 et 1634–1635 (Bousquet 1975, p. 191–192 ; Janand 1996, p. 4) et c’est lui qui a travaillé aux gravures de la Galleria Guistiniani del marchese Vincenzo Giustiniani. La confusion entre Claude et Charles peut s’expliquer par leur signature. Bien que Janand précise que Claude signe systématiquement ses planches Cl. Audran ou de son prénom complet, on a longtemps confondu la production des deux frères (Landon 1807, t. XV, p. 70 ; Janand 1996, p. 4). Les estampes romaines de Charles portent différentes marques, depuis le C. Audran, qu’il abandonne rapidement, jusqu’au K. Audran qui deviendra la signature de sa production parisienne. En effet, Charles choisit à Rome de signer désormais ces œuvres Karl Audran. Le choix de Charles pour l’homonyme Karl met en évidence les contacts que celui-ci entretenait avec les peintres nordiques installés à Rome. Il côtoyait des artistes bourguignons et hollandais comme Cornelius Bloemaert et Swanevelt avec lequel il vit en 1631 et 1632 (Janand 1996, p. 3–5).Anaïs Carvalho, 30.11.2011]ES ware dieser Claudi Oderan auch ein ungemeiner und guter Kupferstecher in Pariß/ begab sich aber von dar in Italien/ und wohnte viel Jahr lang zu Rom/ hinterließe taugliche Theses, En français dans le texte, Theses. Charles Audran produisit aussi de nombreux frontispices, marques au titre et quelques illustrations à Lyon (Janand 1996, p. 4).Anaïs Carvalho, 30.11.2011 hatte auch mithin viel Statuen nachgestochen in unser Werk der Justinianischen Galleria/ endlich zoge er wieder in sein Vatterland/ und ließ nach sich einen Sohn On ne connaît pas de descendance directe à Charles Audran. Peut-être sur ce point Sandrart fait-il encore confusion avec son frère Claude qui, lui, eut plusieurs enfants dont notamment Claude II Audran et un autre plus célèbre Gérard Audran (Lyon, 1640 – Paris, 1703, graveur du roi Louis XIV).Anaïs Carvalho, 30.11.2011/ der ebenmäßig in der Kunst hoch gepriesen worden.

[Marginalspalte: V. Francois und Nicola Polly, Kupferstecher zu Pariß. Sur les frères Poilly, voir les recherches de José Lhote (Lhote 1994 et Lhote 2004). Après sa formation auprès de Pierre Daret, François de Poilly fit un séjour en Italie, il y côtoya Cornelius Bloemaert. Nicolas de Poilly, lui, resta à Paris. Les de Poilly connaissaient aussi Charles Mellan et son élève Jean Lenfant. Les liens qui les unissent confortent l’idée d’une école abbevilloise de la gravure au XVIIe siècle (Lhote 2004, p. 110). La filiation entre tous ces artistes était peut-être connue de Sandrart.Anaïs Carvalho, 30.11.2011] DEr beeden Brüder François und Nicola Polly Wißenschaft in Kupfer mit dem Grabstichel zu arbeiten wurde auch hoch gerühmt/ sonderlich weil sie alles so natürlich und künstlich machten/ daß nicht unbillich in dero Werken einem geschrieben stehet: Non plus ultra, weil diese Kunst nicht wol höher solle können gebracht werden. In der lateinischen Edition der Teutschen Academie findet sich an dieser Stelle der Zusatz: »Quod statis testatur magna S. Augustini imago in folio, in qua elucescit perfectio, ut mirum sit huc usque artem pertingere« (Sandrart, Academia 1683, S. 374); vgl. Sponsel 1896, S. 44/Teutsche Academie 1675/Viten (Ed. Peltzer 1925), S. 412, Anm. 1151.Julia Kleinbeck, 19.10.2011

[Marginalspalte: VI. Abraham Bosse. Sur Abraham Bosse, voir Heck 2007 ; Heck 2006 et Le Blanc 2004.Anaïs Carvalho, 30.11.2011]ABraham Bosse ware zu Paris wohnhaft/ und pflegte in Kupfer auf überzognen Grund zu radiren/ hernacher aber mit Scheidwaßer solches einzuätzen oder beißen zu laßen/ weilen dardurch solches hinein drucken sehr bequämlich geschiehet/ daß etlich tausend Exemplar davon gedrucket werden können; diese schöne Wißenschaft aber hat er über alle/ die vor ihm gewesen/ in eine sothane Vollkommenheit gebracht/ daß er in solcher nicht nur allein denen Kupferstechern gleich geachtet worden/ sondern so gar auch dieselbe übertroffen hat/ welches darum hochlöblich/ weil dieser letztere Gebrauch zu radiren viel geschwinder und leichter geschicht/ worvon er dann (nachdem man ihm zuvor einen ewigen Dank dafür schuldig) in offnen Druck ein ganzes Büchlein sehr weißlich ausgehen laßen/ [Marginalspalte: Sein Büchlein vom ätzen.] worinnen er dieser Kunst Geheimnußen und Kunst-Griffe ganz klar und handgreiflich beschrieben/ daß ein jedwederer daraus alles gar leicht erlernen kan/ welches ich dann teutsch/ dem Kunstbegierigen Leser zum Nutzen/ in der Theoria beygefüget habe. Unsers Bosse erste Werke aber sind gewesen allerley Zierlichkeiten von Historischen Bildern/ täglich Französischen Begebenheiten/ Kurzweilen/ Landschaften/ und anderm/ in großer Mänge/ wormit fast große Bücher angefüllet worden/ alles aber/ nach Art selbiger Nation/ aufs allerzierlichste/ als wormit auch ganz Frankreich und Europa pranget.

Er bemühete sich aber weiters mit noch höherem Studio in der Perspectiv und Architectur was zu erfahren/ in welcher er dann auch so hoch [Marginalspalte: Sein Büchlein von der Perspectiv Kunst.] gestiegen/ daß in seinem Beruf kein anderer ihm es gleich gethan/ wie aus seinen deswegen beschriebenen und mit denen Kupfer-Figuren ausgebildeten Reglen/ so intitulirt werden: Regle dela Pratique de la Perspective, und darinnen des berühmten Monsieur Desargues Gebrauch er nachgefolgt/ und aller erhobene Fläche/Runde/Cörper/ Gebäu und Figuren darnach regulirt/ und auch ohne regulirte Form mit dern Schatten just zu bilden beschrieben/ sehr klärlich zu ersehen ist. Nicht

Paris (où il devait être encore) une haute considération et, grâce à son grand âge, il a laissé le sentiment qu’après lui l’art serait plus facile.

[Marginalspalte: IV. Claude Audran, de Lyon. Ici Sandrart se trompe, il s’agit de Charles Audran. La présence de Charles Audran à Rome est attestée entre 1627–1628 et 1634–1635 (Bousquet 1975, p. 191–192 ; Janand 1996, p. 4) et c’est lui qui a travaillé aux gravures de la Galleria Guistiniani del marchese Vincenzo Giustiniani. La confusion entre Claude et Charles peut s’expliquer par leur signature. Bien que Janand précise que Claude signe systématiquement ses planches Cl. Audran ou de son prénom complet, on a longtemps confondu la production des deux frères (Landon 1807, t. XV, p. 70 ; Janand 1996, p. 4). Les estampes romaines de Charles portent différentes marques, depuis le C. Audran, qu’il abandonne rapidement, jusqu’au K. Audran qui deviendra la signature de sa production parisienne. En effet, Charles choisit à Rome de signer désormais ces œuvres Karl Audran. Le choix de Charles pour l’homonyme Karl met en évidence les contacts que celui-ci entretenait avec les peintres nordiques installés à Rome. Il côtoyait des artistes bourguignons et hollandais comme Cornelius Bloemaert et Swanevelt avec lequel il vit en 1631 et 1632 (Janand 1996, p. 3–5).Anaïs Carvalho, 30.11.2011]Il y avait ce Claude Audran, également un singulier et bon graveur à Paris, mais qui de là se rendit en Italie et habita de nombreuses années à Rome ; il laissa de bonnes thèses En français dans le texte, Theses. Charles Audran produisit aussi de nombreux frontispices, marques au titre et quelques illustrations à Lyon (Janand 1996, p. 4).Anaïs Carvalho, 30.11.2011, il a donc aussi beaucoup gravé d’après les statues dans notre Galleria Giustiniani; enfin il retourna dans sa patrie et laissa derrière lui un fils On ne connaît pas de descendance directe à Charles Audran. Peut-être sur ce point Sandrart fait-il encore confusion avec son frère Claude qui, lui, eut plusieurs enfants dont notamment Claude II Audran et un autre plus célèbre Gérard Audran (Lyon, 1640 – Paris, 1703, graveur du roi Louis XIV).Anaïs Carvalho, 30.11.2011 qui, également, fut hautement célébré dans l’art.

[Marginalspalte: V. François et Nicolas de Poilly, de Paris. Sur les frères Poilly, voir les recherches de José Lhote (Lhote 1994 et Lhote 2004). Après sa formation auprès de Pierre Daret, François de Poilly fit un séjour en Italie, il y côtoya Cornelius Bloemaert. Nicolas de Poilly, lui, resta à Paris. Les de Poilly connaissaient aussi Charles Mellan et son élève Jean Lenfant. Les liens qui les unissent confortent l’idée d’une école abbevilloise de la gravure au XVIIe siècle (Lhote 2004, p. 110). La filiation entre tous ces artistes était peut-être connue de Sandrart.Anaïs Carvalho, 30.11.2011]La connaissance des deux frères François et Nicolas de Poilly dans le travail du cuivre avec le burin fut aussi hautement glorifiée, en particulier parce qu’ils faisaient tout si naturellement et avec art que, sans injustice, l’expression : Non plus ultra figurait sur leurs œuvres, car cet art ne devait plus pouvoir être amené plus haut.

[Marginalspalte: VI. Abraham Bosse. Sur Abraham Bosse, voir Heck 2007 ; Heck 2006 et Le Blanc 2004.Anaïs Carvalho, 30.11.2011]Abraham Bosse habitait à Paris et avait l’habitude de graver Sandrart utilise la base latine,radiren.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 dans le cuivre sur un fond recouvert, après quoi il gravait celui-ci avec l’eau-forte ou le laissait mordre, grâce à cela il était si facile d’imprimer, qu’à partir de là, quelque mille exemplaires pouvaient être imprimés. Plus que tous ceux qui l’ont précédé, il a amené sa belle science à une telle perfection qu’il ne fut pas seulement estimé à l’égal des graveurs mais, au contraire, les a même surpassé ; ce qui est grandement louable, parce que cette dernière façon de graver à l’eau-forte est très rapide et facile à faire. Puis sur ce sujet (tandis qu’on lui doit avant tout un éternel remerciement pour cela), de manière très avisée, il édita et rendit accessible [Marginalspalte: Son petit livre de gravure.] un petit livre complet dans lequel il décrit très clairement et précisément les secrets et le savoir-faire de cet art de sorte que chacun peut tout y apprendre très facilement, j’ai joint celui-ci en allemand dans la théorie En latin dans le texte, Theoria.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 pour le besoin du lecteur curieux de l’art Comme l’indique Peltzer (Teutsche Academie 1675/ Viten (Ed. Peltzer 1925), S. 412, Anm. 1152 u. 1153), Sandrart s’est en effet largement servi de l’écrit de Bosse, Traité des manières de graver [...] (Paris, 1645), dans le chapitre théorique sur la gravure (TA 1675, I, Buch 2 (Skulptur), S. 50).Anaïs Carvalho, 30.11.2011. Mais les premières œuvres de notre Bosse ont été toutes sortes de motifs de figures historiques, d’évènements de la vie quotidienne française, de divertissements, de paysages et d’autres, en grand nombre, qui ont rempli de grands livres, mais tout selon la manière la plus raffinée de cette nation, et qui se sont aussi répandues dans la France entière et en Europe.

Mais par la suite, il s’attacha à une étude En italien dans le texte, Studio.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 encore plus élevée sur ce qu’il faut savoir dans la perspective Sandrart utilise la base latine, Perspectiv.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 et l’architecture Sandrart utilise la base latine, Architectur.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, dans laquelle il s’est également tant élevé que personne d’autre dans sa profession ne sut en faire autant. [Marginalspalte: Son petit livre de l’art de la perspective.] Ses règles décrites et représentées avec des compositions gravées sont intitulées Sandrart utilise la base latine, intitulirt.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 : Règle de la pratique de la perspective Peltzer a identifié cet ouvrage comme étant le Traité des pratiques géométrales et Perspectives [...] édité en 1665 (Teutsche Academie 1675/ Viten (Ed. Peltzer 1925), S. 412., Anm. 1154), mais l’on s’accorde à dire que Sandrart fait référence à un autre écrit de Bosse : Manière universelle de M.r Desargues pour pratiquer la perspective par petit-pied, comme le géométral [...] édité en 1647–1648.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, et il y suivit l’usage du célèbre Monsieur En français dans le texte, Monsieur.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 Desargues Sandrart s’est servi des travaux de Gaspard Desargues (mais aussi de Sacchi, Peruzzi, Serlio et Danti) pour écrire ses règles de perspective (TA 1675, I, Buch 3 (Malerei), S. 89 ; Klemm 1986, p. 351, note 18).Anaïs Carvalho, 30.11.2011. Et on peut clairement y voir comment sont décrits toutes les surfaces en relief, modelés, corps, construction et compositions selon les règles, et aussi la manière de créer une forme sans règle avec des ombres.


Rechte Spalte

weniger hat er auch zu Pariß in der Academie dieser Wißenschaft halben/ offentliche Fragen und Beantwortungen ausgehen laßen/ und sich damit [Marginalspalte: Sein Büchlein von der Architectur.] sehr berühmt gemacht. Les thèses d’Abraham Bosse sur la perspective suscitèrent de vifs débats à l’Académie royale de Paris. Parmi ses opposants, on compte notamment Grégoire Huret que Sandrart évoque aussi dans ce chapitre (Brugerolles/Guillet 1997, p. 9).Anaïs Carvalho, 30.11.2011 Neben dem hat er auch ein anderes heraus gegeben/ unter dem Titul/ Traite des Manieris de dessainier les ordres de l’Architecture antique, worinnen er in allem denen Reglen des berühmten Palladii, die er deutlich beschrieben/ und in beygefügten Kupfern die Practic selbsten gewiesen/ gefolget. Und eben also bezeugte er sich auch in andern Büchern/ als der Geometrie oder Feldmeßerey und dern Geheimnußen/ so dann in [Marginalspalte: Sein Büchlein von der Proportion des Menschen.] einem besondern Büchlein des Menschen Proportion und dern allgemeinen Gebrauch betreffend/ wie zu Rom bey denen Bildhauern der berühmtesten antichen Statuen noch üblich/ und neben andern von ihme noch täglich ausgefärtigten schönen Werken/ durch die er viel gutes/ der Kunst und Wißenschaft zu nutzen/ und denen Künstlern zu lieb/hinterlaßen/ zu ersehen ist.

[Marginalspalte: VII Nicolaus Perelle.] NIcolaus Perelle ware gleichmäßig von Pariß/ und in der Etz-Kunst vorgedachten Abrahams Bosse Nachfolger/ worinnen er dann auch sehr vernünftig gestiegen/ wie deßen seine schöne Werke/ als in folio nach Nicola Pousin gemahlter Apollo, wie selbiger im Himmel/ mit andern Göttern/ in dem runden Sonnen Zirkel sitzet/ auch Phaëton vor ihme niederkniet/ und um die Regierung des Tages anhält/ worinnen meist nackende Bilder/ und alles mit der Räder-Kunst sehr wol und eigentlich überein komt/ daß ihrer wenig so viel mit dem Grabstichel zuwegen gebracht haben/ neben noch anderen mehr/ so auch von ihm zu sehen. Ebenmäßig und mit nicht minderer Vollkommenheit hat er in Kupfer geätzt die berühmteste Palläste/ Gebäude/ Brucken/ Kirchen/ Fontainen/ Brönnen und Gärten/ vollkommene Perspectiven in folio, des gleichen die Städte/ Pariß/ S. Clou, Versailles, Tivoli, Ruel, Fontainebleau, Vincenes, Vaux, Beispielhaft für die Arbeiten der Perelles soll hier ein Kupferstich von Fontainebleau gezeigt werden.Gerrit Stevens, 15.09.2010 und andere 22. Stucke Nicolas Perelle kommt aus heutiger Sicht innerhalb der Künstlerfamilie keine herausragende Bedeutung zu. Sandrart stellt ihn als Schöpfer zahlreicher Blätter dar, obwohl er mit seinem Vater Gabriel und seinem Bruder Adam gemeinsam an den Stadt-, Gebäude- und Landschaftsdarstellungen arbeitete. Darüber hinaus fällt die Veröffentlichung vieler von Sandrart bereits angesprochener Stadtansichten in einen Zeitraum zwischen 1680 und 1730. Sandrart muss daher vor der Veröffentlichung in direktem Kontakt zu den Perelles gestanden und diverse Blätter begutachtet haben; vgl. Röthlisberger 1967, S. 284 f. und Bénézit 1999, Bd. 10, S. 738 f.Gerrit Stevens, 13.09.2010/ in sehr schöner und zirrlicher Manier mit großem Lob und Ruhm. In der lateinischen Ausgabe der Teutschen Academie findet sich an dieser Stelle der Zusatz: »iisque addi possunt adhuc et antiquae quaedam Ruinae cum recentibus nonnullis aedificiis Romanis et similia« (Sandrart, Academia 1683, S. 375); vgl. Sponsel 1896, S. 44/Teutsche Academie 1675/Viten (Ed. Peltzer 1925), S. 412, Anm. 1156.Julia Kleinbeck, 20.10.2011

[Marginalspalte: VIII. S.Marot.] S. Marot war auch eben dergleichen Manier in Pallästen/ Gebäuden/ Kirchen/ Lust-Gärten/ springenden Brönnen/ Waßerfällen und Landschaften zugethan/ als von denen er etliche geätzte ganze Büchlein gleichfals in Druck kommen laßen.

[Marginalspalte: IX. Jean de Potre. Jean le Pautre est cité par plusieurs auteurs dans les actes du colloque Rome-Paris 1640 (voir les articles de Frédéric Cousinié, de Emmanuel Coquery et de Emmanuelle Hénin dans Bayard (dir.) 2010).Anaïs Carvalho, 30.11.2011]JEan de Potre ist in eben dergleichen Stucken zu Pariß/ als von Perspectiven/ Gebäuden/ Pallästen/ Kirchen/ Gärten/ Waßerwerken und Landschaften/ Zierahten/ Ornamenten/ von Schilden/ Gesimsen/ Festinen/ Geschirren/Wappen/ Gefäßen/ verwunderlich gewesen/ sonderlich aber in Tischlerey-Arbeit in Kupfer zu ätzen fürtreflich gehalten worden; nachdem er sich aber auch auf große Bilder/ Historien/ und anders/ gelegt/ auch darinn wol zugenommen/ hat er von eigner Invention in folio Biblische Historien/ auch Weltlich und Poetische aus dem Ovidio in großer Anzahl verfärtiget/ weil er sehr geschwind und sinnreich/ in

Il a aussi fait connaître à Paris à l’Académie En français dans le texte, Academie.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 cette science grâce à des questions et réponses semi publiques, et cela l’a rendu très célèbre Les thèses d’Abraham Bosse sur la perspective suscitèrent de vifs débats à l’Académie royale de Paris. Parmi ses opposants, on compte notamment Grégoire Huret que Sandrart évoque aussi dans ce chapitre (Brugerolles/Guillet 1997, p. 9).Anaïs Carvalho, 30.11.2011. [Marginalspalte: Son petit livre de l’architecture.] En même temps, il a publié un autre livre, sous le titre Traité des manières de dessiner les ordres de l’architecture antique, dans lequel il a suivi en tout les règles du célèbre Palladio, qu’il a clairement décrites, et, dans les gravures jointes, il a montré la pratique Sandrart utilise la base latine, Practic.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 qu’il a lui-même établie. De même, il s’est aussi intéressé dans d’autres livres, à la géométrie En français dans le texte, Geometrie.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 ou à la mesure de champ et à ses secrets Sandrart fait probablement référence l’ouvrage de Bosse édité en 1659, Représentations géométrales de plusieurs parties de bastiments faites par les reigles de l’architecture antique […].Anaïs Carvalho, 30.11.2011, [Marginalspalte: Son petit livre de la proportion des hommes.] et après, dans un livre particulier traitant de la proportion En français dans le texte, Proportion.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 des hommes et de l’usage général qui en est fait, comme il est aussi d’usage à Rome chez les sculpteurs des plus célèbres statues Sandrart utilise la base latine, Statuen.Anaïs Carvalho, 30.11.2011antiques Sandrart utilise la base italienne, antichen.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, et qui sont à voir encore dans d’autres belles œuvres qu’il exécutait quotidiennement ; grâce à elles il a laissé beaucoup de bons profits à tirer de l’art et de la science, et des artistes à aimer.

[Marginalspalte: VII. Nicolas Perelle.]Nicolas Perelle était aussi de Paris et un successeur d’Abraham Bosse, mentionné ci-dessus, dans l’art de graver à l’eau-forte, où ensuite il s’éleva aussi très raisonnablement, tel que le montrent ses belles œuvres, entre autres comme l’in-folio, d’après l’œuvre peinte de Nicolas Poussin, représentant Apollon, ainsi assis dans le ciel avec d’autres dieux dans le cercle arrondi du soleil, et Phaëton agenouillé devant lui et qui maintient le règne du jour, dans lequel la plupart des figures sont nues, et tout s’accorde si bien et proprement avec l’art de l’eau-forte, que cela n’aurait pas été aussi bien fini avec le burin. De la même manière et avec une non moindre perfection, il a gravé dans le cuivre les plus célèbres palais, bâtiments, ponts, églises, fontaines Sandrart utilise la base française, Fontainen.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, sources et jardins, perspectives Sandrart utilise la base latine, Perspectiven.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 parfaites, rassemblés en in-folio, comme les villes de Paris, Saint Cloud, Versailles, Tivoli, Ruel, Fontainebleau, Vincennes, Vaux et vingt-deux autres pièces, dans une manière très belle et délicate avec grand éloge et gloire.

[Marginalspalte: VIII. Jean Marot.]Jean Marot, précisément dans la même manière, s’était aussi attaché aux palais, aux bâtiments, aux églises Sur Jean Marot, voir l’article d’Emmanuelle Hénin illustré avec des gravures de Marot reproduisant l’église Saint-Louis et le Noviciat des Jésuites à Paris (Bayard (dir.) 2010, p. 348–349).Anaïs Carvalho, 30.11.2011, aux jardins d’agrément, aux sources jaillissantes, aux cascades et aux paysages, alors il en fit également éditer quelques petits livres complets gravés.

[Marginalspalte: IX. Jean le Pautre. Jean le Pautre est cité par plusieurs auteurs dans les actes du colloque Rome-Paris 1640 (voir les articles de Frédéric Cousinié, de Emmanuel Coquery et de Emmanuelle Hénin dans Bayard (dir.) 2010).Anaïs Carvalho, 30.11.2011]Jean le Pautre fut aussi admirable dans des pièces analogues, à Paris, les perspectives Sandrart utilise la base latine, Perspectiven.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, les bâtiments, les palais, les églises, les jardins, les fontaines et paysages, les ornements Sandrart utilise la base latine, Ornamenten.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, les décors de blasons, de corniches, de festons Sandrart utilise la base latine, Festinen.Anaïs Carvalho, 30.11.2011, de vaisselles, d’armoiries, de récipients, et fut particulièrement excellent pour graver sur cuivre le décor de menuiserie ; après s’être aussi illustré dans les grandes figures, histoires et autres, dans lesquelles il s’est aussi bien élevé, il a exécuté de sa propre invention En français dans le texte, Invention.Anaïs Carvalho, 30.11.2011 des histoires bibliques, aussi profanes et poétiques tirées d’Ovide sur un grand nombre d’in-folio, parce qu’il était


Originaltext

Übersetzung von Anaïs Carvalho