TA 1675, I, Buch 3 (Malerei), S. 94
Ebnermaßen werden die cubi t v x y, und q r s z, welche in dieser obenstehenden 9 Figur von der seiten angesehen werden/ formiret.
Auf gleiche weise werden auch die cubi, so von einem Eck angesehen werden/ auf das perspectivische Fundament N. 6 aufgerichtet. Allein ist zu merken/ daß man/ damit man die Puncten f, g und h finde/ eine perpendicular-Linie in der Fundamental-Linie aufrichten muße/ von den Puncten
De la même manière, avec une juste proportion, seront formés les cubes tvxy et qrsz qui sont vus de côté dans la figure 9 ci-dessus.
De la même manière, les cubes, vus ainsi depuis un angle, seront également dressés sur la base en perspective N°10 Erreur dans le texte allemand qui parle de la Fig. 6. Il faut également rajouter le point i sur la ligne de terre à l’aplomb du point m.. Il faut seulement remarquer que, pour que l’on trouve les points f, g et h, on doit dresser une ligne perpendiculaire à partir de la ligne de terre depuis les points ikl,
i k l, und in denselben die Höhe des cubi zeichnen/ und von demselben Zeichen eine Linie zu dem puncto concursus ziehen: welche/ wo sie die perpendicular-Linien/ so auf den Linien i D, k D und l D sitzen/durchschneiden/ geben sie die Puncten der Höhe F g h; und so eine Linie von F zum h, gezogen wird/ gibt dieselbe alle andere notwendige Puncten: wie aus nachfolgender 10 Figur abzunehmen.
et y tracer la hauteur du cube, et à partir de ce même dessin tirer une ligne jusqu’au point de fuite : celles-ci, à l’endroit où elles coupent les lignes perpendiculaires, ainsi placées sur les lignes iD, kD et ID, donnent les points de la hauteur fgh, et ainsi, une ligne tirée de f à h donne tous les autres points nécessaires, comme on peut le déduire de la figure 10 qui suit.
Aus diesem ist leicht zu verstehen/ wie man aus den zweyen Gründen/ als N. 7 und 8/ die corpora
A partir de là, il est facile de comprendre, comment à partir des bases comme les N°7 et 8,
on doit dresser les corps : ce qui est expliqué davantage par l’exemple ci-joint N°11 et 12.
Original text
Translation by Michèle-Caroline Heck