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Sandrart est l’un des rares biographes de l’époque à déceler et évoquer l’influence du Caravage dans les premières œuvres de Rubens. Ni André Félibien ou Roger de Piles, pour le XVIIe siècle, ni Dézallier d’Argenville, pour le XVIIIe siècle, ne font une telle remarque. Cela contribue encore à rapprocher l’artiste de l’auteur dont les œuvres montraient aussi un apprentissage dans la tendance caravagesque. Et cette remarque montre aussi l’analyse du coloris par Sandrart, qui, sans avoir su en déduire une véritable théorie, différenciait très bien dans la pratique les manières de Titien, de Raphaël ou de Caravage (voir Heck 2006, p. 157–192).

Kommentar von Anaïs Carvalho30.11.2011

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