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Bernard Salomon est le seul artiste du XVIe siècle présenté par Sandrart dans ce chapitre. La majeure partie de la biographie est consacrée au récit d’une affaire de vente de tableau pour des ecclésiastiques. Cette anecdote semble être un prétexte pour aborder la question de l’élévation sociale des artistes pendant la Renaissance. Sandrart rappelle ainsi la difficulté des peintres à être rémunérés de façon juste et les tournures que pouvait prendre une négociation compliquée. La valeur marchande des œuvres et la capacité des artistes à négocier les prix et à faire du profit sont souvent abordées et/ou précisées par Sandrart (voir, à titre d’exemple, la Vie de Rubens ; TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 290293).

Kommentar von Anaïs Carvalho30.11.2011

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