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En accord avec la correction proposée par Anna Schreurs, on peut suggérer que Sandrart utilise la base italienne, Coloriten. Il s’agit ici en effet du nom commun (« couleurs ») et non du verbe conjugué (« colorer ») pour lequel Sandrart ne garde d’habitude que la base latine color. Cette différence, mise en valeur par la traduction, s’illustre, par exemple, dans la vie de Adam Elsheimer (« colorirt » et « Colorit » : TA 1675, II, Buch 3, (niederl. u. dt. Künstler), S. 294).

Kommentar von Anaïs Carvalho30.11.2011

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