Kommentar
Des dessins de Rembrandt datés autour de 1640 montrent des similitudes avec les illustrations du Trattato della Pittura de Léonard de Vinci, qui, pourtant, ne fut édité qu’en 1651 par Raphaël Trichet du Fresne pour l’édition italienne et par Roland Fréart de Chambray pour la version française (Clark 1966, p. 64–69). Mais Sandrart possédait un manuscrit de ce Traitté que lui avait donné Nicolas Poussin à Rome (Heck 2006, p. 27). Rembrandt a probablement consulté l’exemplaire de Sandrart mais une telle mention dans la biographie aurait contredit les reproches de l’auteur faits à l’égard de l’éducation et de la curiosité de l’artiste envers la « profession ». Sur la réception du traité de Léonard, voir aussi l’article de Heck dans Re-reading Leonardo 2009.
Kommentar von Anaïs Carvalho — 30.11.2011
Dieser Kommentar bezieht sich auf:
- TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 326
- TA 1675, II, Buch 3 (niederl. u. dt. Künstler), S. 326 (Übersetzung: Französisch)