Kommentar

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Dans les éditions de 1675 et de 1683 (chap. 4, De Affectibus sive pertubationis Animi), conformément au modèle de Van Mander (Représentation des affects, mouvements de l’âme, désirs et soucis de l’homme) chap. 6 (Den Grondt, chap. 6, Wtbeeldinge der affecten, passien, begerlijckheden en lijdens der menschen.), Sandrart dissocie position et affect, et consacre un chapitre entier à ce sujet. Dans l’édition de 1679, l’expression des passions est en revanche traitée brièvement, comme dans de nombreux textes du XVIIe siècle, dans le chapitre sur la convenance de l’attitude, révélant ainsi le rapport étroit établi entre le mouvement et l’émotion dans la théorie de l’art depuis Alberti (Alberti, De pictura, Livre II, n° 41–42; voir aussi Heck 2006, pp. 221–231.

Kommentar von Michèle-Caroline Heck25.02.2009

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