Kommentar

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Comme Vasari et Van Mander, Sandrart consacre son premier chapitre au dessin. Toutes les éditions commencent ainsi (Inventione et delineatione dans l’édition latine, Academia nobilissimae artis pictoriae, op.cit., 1683.), mais dans celle de 1679, les longs développements sur le dessin sont résumés, et une place plus grande est faite à l’apprentissage et au perfectionnement dans les Académies : il est alors intitulé Une brève indication pour trouver le juste chemin pour parvenir à l’art de la peinture et une mise en garde contre le mauvais chemin (« Das 1. Capittel begreifft eine kurze Anweisung des rechten Weges zur Erreichung der Mahler-Kunst und Warnung für den Irweg. »). Le chapitre suit le plan général de celui de Vasari, Le dessin. L’art de créer et de reconnaître la bonne peinture. La composition (Vasari, t. 1, chap. 1, p. 149.), en évoquant successivement le dessin, puis le traitement de la lumière et du relief et l’invention. Ce discours est également repris par Van Mander (Van het teyckenen / oft teycken-const : il s’agit en fait du chapitre 2 de Van Mander, le premier étant l’Exhortation aux jeunes gens : Exhortatie, oft vermaninghe /aen d’aencomende Schilder-jeucht.), mais il est alors simplifié. Sandrart au contraire, revient au modèle vasarien, le développe et explicite la pensée du théoricien italien. (Pour les analogies et différences avec le modèle vasarien, voir Heck 2006, S. 139-156.

Kommentar von Michèle-Caroline Heck25.02.2009

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