Kommentar

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Dans chaque édition, un chapitre entier est consacré au paysage, mais il n’occupe pas toujours la même place : il correspond au chapitre 11 de l’édition latine (Picturis topographicis sive campestribus et subdialibus.) et au chapitre 7 de l’édition de 1679. L’analogie avec le chapitre 8 du Grondt de Van Mander est grande : Sandrart en reprend le plan et l’approche générale; voir Heck 2006, S. 298–317, voir aussi Heck 2009 (c), p. 395–397.

Kommentar von Michèle-Caroline Heck25.02.2009

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